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Inproceedings Reference The Belgian barcoding facility for organisms and tissues of policy concern
Located in Library / RBINS Staff Publications 2024
Inproceedings Reference Morphological, acoustic and genetic identification of a reproducing population of the invasive African clawed frog Xenopus laevis (Anura, Pipidae) recently discovered in Belgium
Located in Library / RBINS Staff Publications 2024
Inproceedings Reference Monitoring potential disease hosts and vectors in Belgium: findings from two case projects
Located in Library / RBINS Staff Publications 2024
Inproceedings Reference Biodiversity of the freshwater crabs of Benin: a genetic approach
Located in Library / RBINS Staff Publications 2024
Inproceedings Reference BopCo: The Belgian barcoding facility for organisms and tissues of policy concern
Located in Library / RBINS Staff Publications 2024
Inproceedings Reference Expanding the swimmer’s itch pool: a first record of Trichobilharzia regenti in Belgium
Located in Library / RBINS Staff Publications 2024
Inproceedings Reference Identifying EU-listed invasive species by DNA-barcoding using currently available sequence data
Located in Library / RBINS Staff Publications 2024
Article Reference Opération de fouilles archéologiques à l'Abbaye du Val des Ecoliers (Mons) : résultats préliminaires
Entre les mois de mars et de juillet 2021, une opération de fouilles archéologiques préventives s'est déroulée sur une parcelle située à l'emplacement de l'ancienne abbaye du Val des Écoliers, dans le centre-ville de Mons. Ces fouilles, imposées à l'aménageur par l'AWaP, ont été motivées par le bon état de conservation des vestiges en sous-sol et par la menace que faisait peser sur eux la construction d'un immeuble de bureaux doté d'un parking de deux étages en souterrain. En raison de la cohabitation entre les aménageurs et les archéologues, la zone de fouille a été limitée à une bande de terrain d'environ 60 m sur 12 m, située le long de la rue André Masquelier. Cette emprise a été déterminée en se basant sur les copies d'un plan du xviiie siècle, avec pour objectif de fouiller la majorité des vestiges bâtis de l'abbaye conservés dans la parcelle. Les bonnes relations entretenues avec les équipes de construction permirent d'enregistrer ponctuellement des informations supplémentaires dans le reste de la parcelle. L'opération archéologique, confiée via une procédure de marché public à l'asbl Recherches et Prospections archéologiques (RPA) s'est déroulée en deux phases. La première, de la fin du mois de mars au début du mois de mai, a entraîné la mise au jour d'une partie de la galerie méridionale du cloître, d'une partie du réfectoire, d'une partie de la cuisine et de pièces qui y sont liées, et la découverte de divers espaces de circulation et de niveaux correspondants à des espaces ouverts, comme le préau du cloître et des jardins. Les délais prévus ont imposé une fouille partielle, en sondage, de ces espaces. La superposition de multiples niveaux de sols et la mise établi que cette partie des bâtiments de l'abbaye a été occupée et transformée entre le xive et le xixe siècles. La présence de sépultures médiévales bien conservées dans la galerie du cloître a motivé de nouvelles négociations entre l'AWaP et les aménageurs, au terme desquelles il a été décidé de fouiller l'intégralité de la zone du cloître jusqu'au retrait de la totalité des sépultures. La seconde phase de l'opération s'est alors déroulée, entre le début du mois de mai et la fin du mois de juillet. Elle a consisté à décaper le prolongement de la galerie méridionale et une partie de la galerie orientale du cloître, à enregistrer les vestiges bâtis dans cette zone et à fouiller les sépultures, superposées sur plusieurs niveaux. Pour ce faire, l'équipe a été renforcée d'anthropologues de l'asbl RPA et de l'Institut des Sciences naturelles de Belgique afin de procéder dès le terrain à l'enregistrement des données archéothanatologiques et biologiques. Les galeries du cloître ont livré 54 sépultures contenant des cercueils de bois. Ces derniers sont généralement faits de planches clouées sur un fond de plan trapézoïdal et sont dotés d'un couvercle plat ou en bâtière. Les défunts ont été inhumés en décubitus dorsal, les jambes allongées, les bras le long du corps avec, la plupart du temps, les avant-bras croisés sur le ventre ou sur le bassin. L'état de conservation, assez exceptionnel, ainsi que l'analyse taphonomique ont permis d'aller plus loin dans la caractérisation des pratiques funéraires, avec la présence de litières de paille, de coussins céphaliques, d'éléments vestimentaires et de restes de chaussures en cuir. Une première analyse du recrutement montre que cet espace d'inhumation était avant tout réservé aux adultes, puisqu'il n'y a pas d'enfant et seulement deux ou trois adolescents. Si les hommes sont plus nombreux (21), les femmes sont également bien représentées (10). L'étude de la stratigraphie du cloître et l'expertise de la céramique indiquent que les sépultures seraient surtout datées des xive et xve siècles. Cette datation est soutenue par la typologie des cercueils et les modalités d'inhumation.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2022
Inproceedings Reference What to do with all these bones? Policies of curation and sampling after archaeological excavations of human remains in France and Wallonia
Located in Library / RBINS Staff Publications 2023
Inproceedings Reference Integration, communities & exclusion in Byzantine times through burials from Hierapolis of Phrygia (Türkiye)
During the last decade, several research programs have shed light on the funerary spaces from the Byzantine city of Hierapolis, located in the ancient province of Phrygia, southwest Turkey. The diversity of the investigated burials has been studied using interdisciplinary approaches, including bioarchaeology; this recent research has enabled us to compensate for the incomplete data from former excavations and address new issues. Topography, architectural types, reconstruction of perishable arrangements, grave management, and biological identity of the deceased have been jointly analyzed to identify four kinds of burial spaces in use during the 11th and 12th centuries CE. Our results indicate that each of these spaces was reserved for a specific social category: An enclosed cemetery surrounding a small church was the burial place of the general Christian population in Hierapolis, while much prestigious sites, such as the urban Cathedral and the St. Philip sanctuary, accommodated tombs of clergy and privileged inhabitants. By contrast, non-local Christians, namely identified pilgrims from western Europe, did not have access to burial in these community spaces, but were interred in reopened Roman chamber tombs situated not far from the aforementioned St Philip sanctuary. Finally our results indicate that people were excluded from the community in Hierapolis in death in the cases of tombs situated outside the cemetery walls, as well as three inhumations discovered in a waste and dumping ground. Together, our findings outline a Byzantine funerary landscape much more diversified than usually described and demonstrate community, social stratification, and separation of social groups within a medieval city.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2022