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Article Reference Les restes humains du site d'Ishango (République Démocratique du Congo). Leur contribution à l'étude de la diversité fossile au début du Late Stone Age
Located in Library / RBINS Staff Publications
Article Reference Les restes humains non-incinérés d’époque gallo-romaine du Musée Gallo-Romain de Tongres. Une étude anthropologique et paléopathologique
En Belgique, les restes humains datés de la période gallo-romaine restent peu étudiés par rapport aux époques plus récentes. Cela s’explique notamment par la pratique de l’incinération qui est majoritaire à cette période ainsi que par le peu de nécropoles découvertes dans nos régions, en particulier celles comportant des sépultures à inhumation. À travers cette étude, nous avons étudié les ossements humains de 56 individus principalement issus de la nécropole principale de l’importante ville de Tongres (province de Limbourg, Flandre, Belgique). L’espace funéraire fut utilisé du Ier au IVe siècle bien que l’inhumation concerne majoritairement le IIIe et le IVe siècle. Le but de notre approche était de proposer une caractérisation de la population (sexe, âge, stature) ainsi qu’une large étude paléopathologique (pathologies dentaires, infections, fractures, marqueurs de stress non-spécifiques, modifications dégénératives des articulations ainsi que de nombreux cas pathologiques individuels). Les nombreuses observations réalisées ont été confrontées entre elles mais aussi avec des données contextuelles connues telles que le type de tombe, la répartition spatiale, la datation et les résultats de sites similaires. Ce qui nous a permis de distinguer des tendances intéressantes au sein de la population ainsi que des différences en fonction du groupe social. La présente étude a permis de mieux connaître la population de Tongres, l’une des cités antiques gallo-romaines les plus importantes de Belgique, ainsi que les nombreuses pathologies et stress auxquels elle était soumise. Mais également de comprendre leur répartition au sein de l’espace et de la vie sociale et proposer de nombreuses perspectives.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2022
Inproceedings Reference Les restes organiques du puits du château de Logne.
La fouille du puits du château fort de Logne (province de Liège) a duré près de trente ans. Elle a permis de dégager les remblais qui bouchaient l’impressionnant conduit creusé dans le rocher, dont le diamètre approchait les 3 m de large pour une profondeur d’environ 56 m. Alors que le site accueillait déjà un refuge fortifié au 9e siècle, le château fut détruit 7 siècles plus tard, le 1er mai 1521. Outre l’impressionnante quantité d’objets découverts lors de la fouille, la mise en place d’un tamisage systématique des sédiments extraits du puits a entraîné la collecte de nombreux vestiges organiques. Au total, près de 20.000 restes fauniques ont été récoltés ainsi que des pièces de bois et des graines. Le prélèvement d’échantillons de sédiments traités en laboratoire a également permis d’étudier les pollens et de compléter les études archéozoologique et carpologique. L’analyse combinée de ces différents types de vestiges organiques permet de reconstituer des fragments de la vie des occupants, en particulier les pratiques alimentaires, et de leur environnement à la fin du Moyen Age et au début des Temps modernes.
Located in Library / RBINS Staff Publications
Unpublished Reference Les résultats de la saison 2016
Located in Library / No RBINS Staff publications
Proceedings Reference Les sanctuaires dans leur environnement : apport des analyses polliniques réalisées dans le nord de la France et la Belgique. Approche méthodologique
Located in Library / RBINS Staff Publications
Inproceedings Reference Les sciences naturelles au service de l'archéologie en Wallonie : Archéobotanique
Un éventail de sciences naturelles appliquées à l’archéologie sont hébergées à l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique. Dans le cadre de conventions avec le Service Public de Wallonie, elles œuvrent à l’étude des biorestes découverts en Région wallonne. En 2011, de nouvelles disciplines sont venues s’ajouter à la carpologie et à l’archéozoologie, qui étaient déjà représentées auparavant, donnant naissance à l’équipe d’Archéosciences Région wallonne. Géoarchéologie, archéozoologie et archéobotanique sont illustrées au travers de cinq posters. L’archéobotanique regroupe d’une part la carpologie, l’anthracologie et la dendrologie (macrorestes) et d’autre part la palynologie et l’analyse des grains d’amidons et des phytolithes (microrestes). Nous présentons les différentes disciplines, leurs apports et limites ainsi que les aspects qu’elles permettent de documenter. Quelques études de cas et résultats marquants obtenus par l’analyse des biorestes récoltés lors des fouilles archéologiques en Wallonie sont également exposés.
Located in Library / RBINS Staff Publications
Inproceedings Reference Les sciences naturelles au service de l'archéologie en Wallonie : Les microrestes végétaux
Un éventail de sciences naturelles appliquées à l’archéologie sont hébergées à l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique. Dans le cadre de conventions avec le Service Public de Wallonie, elles œuvrent à l’étude des biorestes découverts en Région wallonne. En 2011, de nouvelles disciplines sont venues s’ajouter à la carpologie et à l’archéozoologie, qui étaient déjà représentées auparavant, donnant naissance à l’équipe d’Archéosciences Région wallonne. Géoarchéologie, archéozoologie et archéobotanique sont illustrées au travers de cinq posters. L’archéobotanique regroupe d’une part la carpologie, l’anthracologie et la dendrologie (macrorestes) et d’autre part la palynologie et l’analyse des grains d’amidons et des phytolithes (microrestes). Nous présentons les différentes disciplines, leurs apports et limites ainsi que les aspects qu’elles permettent de documenter. Quelques études de cas et résultats marquants obtenus par l’analyse des biorestes récoltés lors des fouilles archéologiques en Wallonie sont également exposés.
Located in Library / RBINS Staff Publications
Proceedings Reference LES SEMENCES MINERALISEES EN CONTEXTE ARCHEOLOGIQUE : APPROCHES DESCRIPTIVE ET TAPHONOMIQUE
En contexte archéologique, la minéralisation des semences concerne, en premier lieu, celles qui ont été rejetées dans un état non carbonisé. On peut distinguer deux formes de minéralisation : la biominéralisation et la perminéralisation. C’est la seconde qui s’avère être la plus courante. Elle a souvent été observée dans les dépotoirs de sites urbains historiques. Des recherches effectuées depuis plus de vingt ans (Green 1979[4], Carruthers et Glamorgan 1991[1]) ainsi que d’autres plus récentes (Carruthers 2000[2], Carruthers et Straker 2000[3], McCobb et al. 2001[5] et 2003[6]) ont permis de mieux approcher les facteurs et les processus biochimiques de cette forme de préservation. La perminéralisation résulte de l’imprégnation des tissus de la graine et des cavités par une solution minérale se mettant en place lors de la décomposition de la matière organique, durant la période d’enfouissement. Un environnement spécifique est requis car ce phénomène semble dépendre de nombreux facteurs. Par ailleurs, les composés minéraux de remplacement peuvent être divers. Signalées en France plus souvent dans les sites d’îlots urbains des périodes historiques (Cour Napoléon du Louvre à Paris[8], Tour des Salves à Vincennes, Rigny-Ussé[9], Saint-Pierre Lentin à Orléans, Grosse Tour de Bourges[10], Hôtel Saint-Jean à Toulouse) mais aussi ruraux (Les Murailles à Distré, ou Saint-Mézard à Lestagnac[11]) (travaux de Ruas 1986-2003), les semences minéralisées ont, jusqu’à présent, montré qu’elles prenaient le plus souvent la forme d’une empreinte interne plus ou moins fidèle de la semence ; toute portion des téguments externes ou de leur ornementation ayant disparu, dans la plupart des cas. La détermination se révèle d’autant plus difficile que cette minéralisation peut être suivie par des recristallisations et/ou une érosion chimique de l’élément, mais aussi survenir sur des restes carbonisés : les semences prenant alors des formes et des aspects fort différents. Grâce à l’examen qualitatif d’un plus grand nombre de restes minéralisés dans les contextes de la motte castrale de Boves (Somme), du prieuré de Saint-Leu d’Esserent (Oise) et du site palatial des Hallettes à Compiègne (Oise), une diversité des tissus végétaux affectés et une variabilité du degré de minéralisation ont pu être mieux distinguées. En outre, un atlas de détermination des semences minéralisées a été réalisé. S’agissant d’un processus biogéochimique complexe, seules des analyses spécialisées prenant en compte à la fois les tissus constitutifs des semences et les paramètres taphonomiques de leur conservation (traitements subis en amont de leur dépôt, contexte d’enfouissement) peuvent permettre de comprendre la cinétique de ce processus et les conditions de son apparition. De nouveaux éléments de réponses ont été obtenus aux travers des expérimentations de minéralisation in vitro et des analyses chimiques (à l’aide d’un ESEM avec diffraction de RX) effectuées sur diverses semences minéralisées découvertes sur les sites médiévaux du nord de la France dans la thèse de S. Preiss (2011) [7]. Ils ont permis, entre autres, de déterminer certaines conditions du milieu ambiant inductrices de la minéralisation et d’observer la composition chimique des constituants selon les espèces concernées, les tissus des semences et les structures archéologiques dont elles sont issues. Ce travail présente l’acquis des connaissances et les derniers résultats. Il insiste sur la conservation différentielle des restes et s’interroge sur la valeur indicatrice et les biais de cette fossilisation quant à l’origine des assemblages carpologiques dans les niveaux archéologiques, la nature des dépôts, et, en conséquence, quant à la fonction des structures dans lesquelles ils sont ainsi conservés, la représentativité des spectres alimentaires enregistrés et la possibilité d’en appréhender l’évolution et les pratiques d’assainissement. [1]Carruthers W. & Glamorgan H. (1991) « Mineralised plant remains: some examples from sites in Southern England », dans Hajnalová E. (éd.), Palaeoethnobotany and Archaeology, 8th symposium of I.W.G.P., Acta Interdisciplinaria Archaeologica, Nitra-Nové-Vozokany, vol. 7, p. 75-80. [2]Carruthers W.J. (2000) « Mineralised plant remains », dans Lawson A.J. (éd.), « Potterne 19825, animal husbandry », dans later prehistoric Wiltshire, Wessex Archaeology Report 17, Wessex Archaeology, Salisbury, p. 72-84. [3]Carruthers W.J. & Straker V. (2000) « Comparison between mineralised and charred plant assemblages », dans Lawson A.J. (éd.), Potterne 1982-5: animal husbandry in later prehistoric Wiltshire. Wessex Archaeology Report 17, Salisbury, p. 91-95. [4]Green F.J. (1979) « Phosphatic mineralization of seeds from archaeological sites », Journal of Archaeological Science, vol. 6, p. 279-284. [5]McCobb L.M.E., Briggs D.E.G., Evershed R.P. & Hall A.R. (2001) « Preservation of fossil seeds from a 10th Century AD Cess Pit at Coppergate, York », Journal of Archaeological Science, vol. 28, p. 929-940. [6]McCobb L.M.E., Briggs D.E.G., Carruthers W.J. & Evershed R.P. (2003) « Phosphatisation of seeds and roots in a Late Bronze Age deposit at Potterne », Journal of Archaeological Science Wiltshire, UK, vol. 30, p. 1269-1281. [7]Preiss S. (2011) « Exploitation des ressources végétales et pratiques alimentaires dans le Nord de la France entre les Xe et XIIe siècles : études carpologiques de la motte castrale de Boves (Amiens, Somme) et des sites environnants », Volume I (texte), 413 p., Volume II (Figures), 164 p., Volume III (Annexes), 124 p. [8]Ruas M.-P. (1986). « Une approche du paléoenvironnement végétal par l'étude des semences. La carpologie. », in : de Kisch Y. & Trombetta P.-J. (dir.), « Une approche de l'Homme dans son environnement VIIe - XVIIe siècle. Grand Louvre - Fouilles archéologiques de la Cour Napoléon. Paléoenvironnement et fouilles urbaines », Direction Régionale des Antiquités Historiques de l'Ile de France, Paris : 22 - 24. [9]Ruas M.-P. (1995). « Légumes, épices et fruits consommés au presbytère de Rigny dans la première moitié du XVIe siècle : données carpologiques. », in : Zadora-Rio- E. & Galinié H. (dir.), « La fouille de l’ancien centre paroissial de Rigny (commune de Rigny-Ussé, Indre-et-Loire). Deuxième rapport préliminaire (1992 - 1994) », Revue Archéologique du Centre de la France , 34 : 229-246. [10]Ruas M.-P. (1999). « Les restes alimentaires végétaux. », in : Monnet C. (dir.), La vie quotidienne dans une forteresse royale. La Grosse Tour de Bourges (fin XIIe s. milieu XVIIe siècle), Editions de la ville de Bourges, Service d'Archéologie Municipal, (Monographie, 1) : 341-356. [11]Ruas M.-P. & Bouby L. (2003) « L’apport de la carpologie : les plantes identifiées à Lestagnac ; les débuts de la viticulture. », in : Petit-Aupère C. & Sillières P. (dir.), Lestagnac, un chai gallo-romain. La viticulture en Gascogne antique, catalogue de l’exposition août-oct 2003, Centre Patrimonial Départemental, abbaye de Flaran (Gers) : 24-29.
Located in Library / RBINS Staff Publications
Article Reference Les sépultures de Ngongo Mbata (RDC , XVII-XIXe siècles) : recrutement et état sanitaire
Located in Library / RBINS Staff Publications 2019
Inproceedings Reference Les serpents de l’Eocène inférieur de Tadkeshwar (Gujarat, Inde): un nouveau géant parmi les classiques
La Formation de Cambay dans la mine de lignite de Vastan, au Gujarat (ouest de l’Inde) a livré une faune très diversifiée de serpents de l’Eocène inférieur. Parmi ceux-ci se trouvent les plus anciens cénophidiens colubroïdes. Récemment, un nouvel assemblage de serpents a été découvert dans la mine de Tadkeshwar, située à 10 km au Sud-Ouest de Vastan. Comme à Vastan, les spécimens de Tadkeshwar sont uniquement représentés par des vertèbres isolées. Plusieurs espèces sont communes avec Vastan comme le petit Madtsoiidae gen. et sp. indet. qui présente une carène hémale, le serpent aquatique palaeophiidé Palaeophis sp., le Boidae indet., ainsi que Thaumastophis missiaeni (Caenophidia incertae sedis). Cependant, les serpents les plus abondants à Tadkeshwar sont les madtsoiidés. Parmi eux, un nouveau taxon géant dont la plus grande vertèbre mesure 43 mm de large présente une morphologie similaire aux genres Madtsoia et Gigantophis. Il diffère toutefois de ces derniers par la présence d’une vertèbre comprimée dorso-ventralement présentant des cotyles et condyles de forme très ovale ainsi que par la présence d’une forte échancrure sur le bord postérieur de l’arc neural. L’axe principal des prézygapophyses est transverse en vue dorsale et en vue antérieure les parapophyses sont très développées et s’étendent latéralement au-delà des extrémités distales des prézygapophyses. La carène hémale est absente. Alors que la composition de la faune de Tadkeshwar, comme celle de Vastan, n’est pas sans rappeler celle de l’Eocène inférieur d’Europe, la présence de ce madtsoiidé géant suggère une origine paléogéographique gondwanienne. En effet, de tels madtsoiidés ne sont connus que du Crétacé Supérieur et du Paléogène inférieur d’Amérique du Sud, d’Afrique et du sous-continent Indien ainsi que du Paléogène supérieur et du Néogène d’Australie. L’assemblage de serpents de Tadkeshwar indique donc que les taxons laurasiens d’affinités européennes étaient encore mélangés avec des taxons reliques du Gondwana à l’Eocène inférieur, peu avant la collision Inde-Asie. Le travail de terrain est soutenu par la National Geographic Society, la Fondation Leakey et le Wadia Institute of Himalayan Geology. Ce résumé est une contribution au projet BR/121/A3/PalEurAfrica financé par la Politique Scientifique Belge.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2016