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Article Reference Origin, evolution and potential development of a typical mountain cultural landscape: the Lower Champsaur bocage (Southern French Alps)
Located in Library / RBINS Staff Publications
Article Reference Palynological evidence of the agro-pastoral systems evolution on the French medium mountains
Located in Library / RBINS Staff Publications
Inbook Reference People of the höyüks versus people of the mountains?
Located in Library / RBINS Staff Publications
Inproceedings Reference Pérénité et propriété des collections numériques de paléontologie de l'Institut royal des Sceinces naturelles de Belgique
Depuis près de 10 ans, l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique (IRSNB) s’équipe d’outils divers et variés pour numériser et valoriser ses 38 millions de spécimens : système de photostaking, microscope électronique à balayage, photogrammétrie en lumière structurée, micro- et nano-CT scanners et plus récemment scanner surfacique mobile. En Paléontologie, troisième plus grande collection sur les six que compte l’IRSNB, la priorité est pour l’instant donnée aux spécimens dits “Types et Figurés”. Avec plus de 40.000 spécimens types et figurés sur plus de 3 millions dans les collections générales, il y a déjà du pain sur la planche. Dans ce cadre, la plateforme numérique maison « Open Source » nommée Virtual Collections « virtualcollections.naturalsciences.be » permet l’accès aux images et aux modèles tridimensionnels de ces spécimens de référence. C’est alors que se posent les questions de la pérennité et de la propriété des images. Les images réalisées à l’IRSNB ne posent pas de problèmes car elles sont protégées par une licence CC BY NC ND et sont conservées sur une plateforme de la Politique scientifique fédérale (BELSPO = ministère belge des affaires scientifiques) afin de pérenniser l’accès aux collections numériques. En revanche, qu’en est-il des images réalisées par d’autres institutions et déposées sur des plateformes externes telles que Morphosource, Digimorph, MorphoMuseuM, pour ne citer que les plus connues? Ces images et modèles des spécimens de l’IRSNB sont-ils également protégés, notamment contre des pratiques commerciales et qui sont les réels détenteurs des droits à l’image? Nous décrivons ici les divers cas de figures et tentons de répondre à ces questions qui taraudent de plus en plus les grands musées de histoires naturelles.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Inproceedings Reference PerissOrigin : phylogénie et diversification des premiers périssodactyles
Les premiers vrais périssodactyles sont reconnus presque simultanément dès le tout début de l’Eocène en Europe de l'Ouest, en Asie et en Amérique du Nord, et semblent pourtant déjà appartenir à des familles distinctes (Smith et al. 2015 ; Bai et al. 2018). Cette apparente diversité pose donc question sur l’origine paléobiogéographique et phylogénétique de ces groupes, qui reste très débattue. En effet, le plus proche parent des périssodactyles reste encore incertain, bien que deux groupes-frères potentiels semblent aujourd’hui majoritairement acceptés : les périssodactyles pourraient soit être proches de certains Phenacodontidae nord-américains (Halliday et al. 2017), ou plutôt groupe-frère des Anthracobunia du sous-continent indien (Rose et al. 2019). Le projet PerissOrigin a pour but de mieux comprendre les premières dichotomies des périssodactyles anciens ainsi que leur origine paléobiogéographique. Grâce à l'une des plus complètes collections de moulages de périssodactyles anciens et à des spécimens inédits, une nouvelle matrice de caractères morphologiques a été compilée, comprenant actuellement une centaine de caractères cranio-dentaires pour 80 terminaux. Certains taxons européens ont pu être réévalués, et une nouvelle phylogénie des premiers périssodactyles sera présentée. Plusieurs méthodes et paramètres d'analyse phylogénétique (choix de l'extra-groupe, parcimonie ordonnée/non ordonnée, choix des caractères, polymorphisme, pondération...) seront comparés et leur impact sera discuté. Cette nouvelle phylogénie nous permet de définir quelques synapomorphies des grands groupes de périssodactyles et d'aborder une première discussion paléobiogéographique. Nous discuterons enfin des problèmes non résolus dans la phylogénie des périssodactyles. Le projet "PERISSORIGIN - Origin and early radiation of perissodactyls based on precious fossil collections" est financé par le programme de recherche BRAIN-be 2.0 de BELSPO.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2024 OA
Inproceedings Reference Phylogenetic position of Olbitherium (Mammalia, Perissodactyla) based on new material from the early Eocene Wutu Formation
The genus Olbitherium was originally described in 2004 from the early Eocene of the Wutu Formation in China as a ‘perissodactyl-like’ archaic ungulate. Described material of Olbitherium consists of partial dentaries with lower cheek teeth, isolated upper molars, and an isolated upper premolar. Subsequent collaborative fieldwork by Belgian and Chinese researchers discovered new material including a partial skull, the anterior portion of the dentary, and associated postcrania. In their general form, the skull and postcrania are similar to those of early perissodactyls. The new material provides a more complete picture of the upper dentition, and the anterior dentary demonstrates the presence of three lower incisors and a large canine, both ancestral features for perissodactyls. A phylogenetic analysis was conducted to test the affinities of Olbitherium, using a matrix of 321 characters and 72 taxa of placental mammals emphasizing perissodactyls and other ungulates. The results produced four shortest trees of 1981 steps. In all four trees, Olbitherium is the sister-taxon to all perissodactyls except Ghazijhippus. In contrast, when scoring was restricted to the originally described material, the results produced 16 shortest trees of 1970 steps, and Olbitherium nests well within Perissodactyla as sister-taxon to a clade including Lambdotherium and the brontotheriids Eotitanops and Palaeosyops. The new material not only supports the identification of Olbitherium as a perissodactyl, but it also suggests that it is significant for understanding the ancestral perissodactyl morphotype. Funding Sources U.S. National Science Foundation (DEB1456826), Chinese Ministry of Science and Technology (2009DFA32210), and Belgian Science Policy Office (BL/36/C54).
Located in Library / RBINS Staff Publications 2020
Inbook Reference Possibilities of archaezoological analysis from the antique site of Sagalassos (Burdur Province, Turkey)
Located in Library / No RBINS Staff publications
Inproceedings Reference Présence d'un gecko dans l'Eocène basal de Dormaal (Belgique): un élément thermophile du PETM ?
Si le registre fossile des lézards est assez bon pour l’Eocène moyen et supérieur en Europe, il n’en va pas de même pour l’Eocène inférieur. Seule la localité de Dormaal, datant de l’Eocène basal (niveau-repère MP7,Belgique) semble faire exception. Parmi les nombreux fossiles de lézards de cette localité, nous présentons ici pour la première fois quelques rares éléments appartenant à un gecko. Ce dernier vivait donc dans nos régions durant le Maximum Thermique Paléocène-Eocène (PETM), climat le plus chaud des 66 derniers millions d’années. Ce nouveau taxon, daté de 56 Ma, est le plus ancien gecko cénozoïque connu en Europe. Avec Laonogekko lefevrei de Prémontré (MP 10, Bassin de Paris), plus jeune d’environ 5 millions d’années, ces taxons forment la radiation du Paléogène inférieur de ce clade. Aujourd’hui, les geckos sont répartis dans le monde entier, principalement dans les zones tempérées chaudes à tropicales, bien que certaines espèces puissent atteindre des régions plus froides dans les hémisphères Nord et Sud. Le nouveau gecko de Dormaal représente un élément thermophile, confirmant les préférences thermiques actuelles des geckos. Par ailleurs, la distribution de ce groupe dans des latitudes aussi septentrionales (au-dessus de 50° Nord) n’est pas surprenante durant cette période particulièrement chaude. Bien que le nouveau taxon décrit ici ne soit représenté que par un frontal et des dentaires (deux des éléments les plus fréquemment préservés chez les geckos fossiles), il fournit un nouveau record de diversité des squamates à la base de l’Eocène. Avec Yantarogekko de l’ambre éocène de la Baltique (district de Kaliningrad, nord-ouest de la Russie), ces geckos documentent la distribution septentrionale des geckos en Europe pendant l’Éocène.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2022 OA
Inbook Reference Present-day traditional ovicaprine herding as a reconstructional aid for herding at Roman Sagalassos
Located in Library / No RBINS Staff publications
Inproceedings Reference Primoptynx, un hibou pas comme les autres
Avec plus d’un an de retard suite à la crise COVID (Anthropocène supérieur), nous présentons ici un squelette partiel d’un hibou fossile de grande taille qui entretemps a déjà été publié (Mayr et al., 2020). Ce retard n’est toutefois pas réellement préjudiciable étant donné que le spécimen a été découvert il y a déjà plus de 30 ans dans les couches du Wasatchien moyen (Wa-3) de la Formation de Willwood à McCullough Peaks, au Wyoming (USA), permettant ainsi de le dater entre 54,5 et 55,0 Ma (début de l’Eocène inférieur). Le spécimen inclut la majorité des os postcraniens d’un des strigiformes fossiles les plus complets du Paléogène. Primoptynx poliotaurus mesurait environ 50 centimètres de long, taille comparable à Hedwig, le harfang des neiges de Harry Potter, et appartient à un groupe de hiboux proche de la famille éteinte des Protostrigidae, bien que ne partageant pas avec ces derniers la morphologie dérivée du tibiotarse. Les pattes de Primoptynx sont différentes de celles des strigidés actuels (hiboux et chouettes). Les hiboux ont aujourd'hui quatre doigts avec des griffes de même taille pour attraper des proies relativement petites, et les tuer avec le bec. Primoptynx a les premier et second doigts plus longs, comme on le voit chez les éperviers, buses, aigles et autres membres de la famille des Accipitridae. Ces deux doigts plus développés sont utilisés pour épingler les proies, qui sont dès lors percées par les serres. Primoptynx était donc un hibou qui chassait comme un aigle, des mammifères de taille moyenne. Ce fossile montre, avec d’autres découvertes, que durant l’Eocène inférieur il y avait déjà une certaine diversité de strigiformes, de différentes tailles, qui occupaient diverses niches écologiques. Le succès des hiboux allait de pair avec celui des mammifères, devenus très diversifiés à l’Eocène inférieur. L'extinction ultérieure de Primoptynx et d'autres proto-hiboux pourrait être due à l'émergence d'oiseaux de proie diurnes à l'Éocène supérieur. Financements Cette étude a été menée dans le cadre du projet BR/121/A3/PalEurAfrica, financé par la Politique Scientifique Fédérale Belge. Références Mayr G., Gingerich P.D. & Smith T., 2020. Skeleton of a new owl from the early Eocene of North America (Aves, Strigiformes) with an accipitrid-like foot morphology. Journal of Vertebrate Paleontology, 40(2):e1769116. https://doi.org/10.1080/02724634.2020.1769116.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021