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Article Reference Revision of the lanternfly genus Limois Stål, 1863 (Hemiptera: Fulgoromorpha: Fulgoridae) with description of a new species from China
Located in Library / RBINS Staff Publications 2020
Article Reference Revision of the morphology, phylogenetic relationships, behaviour and diversity of the Iberian and Italian ant-like Tachydromia Meigen, 1803 (Diptera: Hybotidae)
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference Revision of the oldest varanid, Saniwa orsmaelensis Dollo, 1923, from the earliest Eocene of northwest Europe
Saniwa is an extinct genus of varanid squamate from the Eocene of North America and Europe. Up to now, only one poorly known species, Saniwa orsmaelensis Dollo, 1923, has been reported from Europe. Diagnostic material was limited to vertebrae with only preliminary description and no figure provided, except of one dorsal vertebra that was designated as the lectotype. New specimens from the earliest Eocene of Dormaal, Belgium and Le Quesnoy, France, including recently recovered skull ma-terial, are described and illustrated here. These fossils representing the oldest varanid squamate allow further comparisons with the type species, Saniwa ensidens Leidy, 1870, from the early and middle Eocene of North America and to propose a new diagnosis for S. orsmaelensis. Its arrival in Europe is probably linked to rapid environmental changes around the Paleocene Eocene Thermal Maximum (PETM). The occurrence of S. orsmaelensis is restricted to the early Eocene of northwest Europe and paleogeographic considerations regarding the distribution of the genus Saniwa Leidy, 1870 suggest an Asian origin, but an African origin cannot be completely excluded.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2022 OA
Article Reference Revisional notes on Trictenotoma Gray, 1832 (Coleoptera: Trictenotomidae) in Indochina bioregion, with description of a new species
Located in Library / RBINS Staff Publications 2020
Article Reference Revival and Revision of the genus Paroplites with description of two new species (Coleoptera, Cerambycidae, Prioninae)
Located in Library / RBINS Staff Publications 2020
Article Reference Rissoa parva (da Costa, 1778) (Gastropoda: Caenogastropoda: Rissoidae) an overlooked species or a newcomer in Iceland?
Located in Library / RBINS Staff Publications 2023 OA
Article Reference Rissoina ponderi n. sp. (Caenogastropoda: Rissoinidae) a new endemic species from New South Wales and a comparison with the related species Rissoina elegantula Angas, 1880
Located in Library / RBINS Staff Publications 2022
Article Reference Robber flies from mangroves in Hong Kong (Diptera: Asilidae)
Located in Library / RBINS Staff Publications 2020
Article Reference Role of Wildlife in Emergence of Ebola Virus in Kaigbono (Likati), Democratic Republic of the Congo, 2017
Located in Library / RBINS Staff Publications 2020
Article Reference Rome à la campagne : les décors de marbre de la villa de la Grande Boussue à Nouvelles (Mons, Belgique).
Introduction Les vestiges de la villa de Nouvelles s’étendent sur plusieurs parcelles situées à l’intersection des localités hennuyères de Nouvelles, Harveng et Asquillies, au sud de Mons (fig. 1). Découverts par Émile de la Roche de Marchiennes à la fin du XIXe siècle au lieu-dit « Grande Boussue » ou « Petit Bavay », ils ont fait l’objet de dix-huit campagnes de fouilles entre 1964 et 1985, à l’initiative de la famille Leblois. Les résultats confirmeront l’importance et la richesse de cet établissement rural élevé en territoire nervien, à environ 16 km à peine de Bavay . Ces travaux seront complétés dans les années 1990 par quelques petites interventions ponctuelles conduites par l’asbl Recherches et Prospections archéologiques en Wallonie et par le Service Public de Wallonie. La villa se développe en bordure d’un léger promontoire descendant en pente douce vers le nord-est, entre les deux affluents principaux de la Trouille, le By (ou Ruisseau d’Asquillies) et la Wampe. Sa partie haute surplombe le paysage, offrant ainsi une vue panoramique sur plusieurs kilomètres. Le site accueille tout d’abord une occupation laténienne de nature encore imprécise, à laquelle succède, dans la première moitié du Ier siècle apr. J.-C., un établissement cerné d’un vaste enclos de plan quadrangulaire de près de 2 hectares. Au tout début du IIe siècle, ces structures disparaissent au profit de la création d’un très grand corps de logis conçu en trois ailes. Il ouvre vers le sud-est, sur une cour d’environ 80 m de large, et domine la cour agricole par sa position naturellement surélevée. Dès cette période, cet ensemble peut être qualifié de « grande villa à pavillons multiples alignés », une formule architecturale typiquement gallo-romaine, à laquelle répondent les établissements ruraux parmi les plus évolués du Nord de la Gaule (fig. 2) . Outre ses grandes dimensions - estimées à plus de 4 hectares - et la conception symétrique de ses bâtiments, l’établissement présente les caractéristiques ornementales d’une résidence aristocratique, comme en témoignent l’abondance des restes décoratifs et la construction d’un aqueduc long d'1,5 km, en amont du ruisseau d’Asquillies. Cette conduite avait certainement pour fonction principale d’alimenter, via un bassin de distribution dans l’aile sud, une suite thermale aménagée dans l’aile nord. Une dernière campagne de transformation et d’embellissement entreprise à la fin du IIe siècle ou au début du IIIe siècle marque alors l’apogée de son développement monumental. À cette époque, les trois ailes du corps de logis totalisent une longueur cumulée d’environ 300 m. Les façades sont agrémentées de portiques et l’ensemble possède plusieurs pièces décorées, dont la suite thermale. Mais dans le troisième quart du IIIe siècle, un violent incendie détruit l’aile sud et au moins l’un des pavillons dans la pars rustica. L’absence de réaménagement donne l’impression que la villa est alors délaissée par ses propriétaires. Les vestiges seront ensuite exploités comme carrière par les habitants des villages voisins au XVIIe siècle, achevant ainsi la destruction du corps de logis, dont les ruines disparaîtront progressivement avec la mise en culture des terres. (...)
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021