Search publications of the members of the Royal Belgian institute of natural Sciences
-
Fish as indicators of trade relationships in Roman times: the example of Sagalassos, Turkey
-
Een geplaveide Romeinse weg, religieuze keramiek, massa’s dierlijk botmateriaal en andere Romeinse sporen aan de Nerviërsstraat in Asse (provincie Vlaams-Brabant)
-
La nécropole gallo-romaine de Messancy. Synthèse
-
Report on the 2008 season of the Hierakonpolis expedition
-
Le genre Dormaalius Quinet, 1964, de l'Eocène inférieur de Belgique, synonyme du genre Macrocranion Weitzel, 1949 (Mammalia, Lipotyphla)
-
Présence du genre Wyonycteris (Mammalia, Lipotyphla) à la limite Paléocène-Eocène en Europe
- A new species of insectivore, Wyonycteris richardi, is described on the basis of mandible fragments and isolated cheek teeth of the Early Eocene from Dormaal (Belgium), at the Paleocene-Eocene boundary. Nycticonodon and ?Adapisoriculus from Dormaal, and cf. Adapisoriculus from Fordones (France) are considered synonymous with the genus Wyonycteris from Wyoming (USA). Wyonycteris appears to be neither a typical bat nor a nyctitheriid but probably is related to evolved adapisoriculids.
-
Diacodexis gigasei n. sp., le plus ancien Artiodactyle (Mammalia) belge, proche de la limite Paléocène-Eocène
- Les données acquises au cours de fouilles récentes ainsi que la mise en commun du matériel de plusieurs collections du gisement de Dormaal (localitt de référence du Niveau-Repère MP 7) ont permis de rassembler une douzaine de dents jugales de Diacodrxis. L'étude de ce matériel et sa comparaison avec diverses espèces primitives de Diacodrxis de I'Eocène inftrieur d'Europe, d'Amtrique du Nord et d'Asie ont permis de définir la nouvelle espèce, Diacodexis gigasri. Une position phylogénttique est proposée pour cette nouvelle espèce.
-
Leptacodon dormaalensis (Mammalia, Lipotyphla), un nyctithère primitif de la transition Paléocène-Eocène de Belgique
- Gypsonictops dormaalensis Quinet, 1964, décrit à l'origine à partir d'une unique P4/, est attribué au genre Leptucodon. L'espèce L. clormaalensis est redécrite sur la base de fragments mandibulaires et de dents jugales isolées provenant du Landénien supérieur de Dormaal (Belgique), près de la limite Paléocène-Eocéne. La comparaison du Leptacodon belge avec les autres espèces du genre indique que celui-ci est proche de l'espèce-îype L. tener Matthew & Granger, 1921 et semble posséder avec ce dernier. ainsi que L. rosei Gingerich, 1987, les caractères morphologiques les plus primitifs des nyctithères. La phylogénie du genre Leptucodon est également discutée et le genre Plc~gioctenodon Bown, 1979 est considéré comme synonyme du genre Leptacodon.
-
Synthèse des données actuelles sur les vertébrés de la transition Paléocène-Eocène de Dormaal (Belgique)
- La présente note fournit un historique des découvertes et travaux concernant les vertébrés fossiles de Dormaal (Brabant, Belgique). Une coupe de la dernière fouille entreprise à Dormaal en 1990 est présentée, ainsi qu'un aperçu stratigraphique du gisement tenant compte du nouveau classement lithostratigraphique du Paléogène en Belgique. La liste faunique des vertébrés est réactualisée et des perspectives paléoécologiques et biostratigraphiques sont offertes par les nouvelles collections.
-
Macrocranion germonprae n. sp., insectivore proche de la limite Paléocène-Eocène en Belgique
- La nouvelle espèce Macrocranion germonpreae du Membre de Dormaal (Groupe de Landen, Belgique) est décrite sur la base de dents jugales isolées. Cet insectivore érinacéomorphe est comparé aux autres espèces du genre Macrocranion d'Europe et d'AmCrique du Nord. M. germonpreae possède les caractères morphologiques d'un Dormaaliinae primitif.
-
Un bois silicifié de peuplier de la transition Paléocène-Eocène de Dormaal, Belgique
-
Mode de vie et affinités de Paschaterium (Condylarthra, Hyopsodontidae) d'après ses os du tarse
- Les os du tarse de Paschatherium dolloi de Dormaal sont décrits et analysCs fonctionnellement. L'astragale possède une trochlée en poulie dissymétrique, une large cupule mediale pour la malléole du tibia, un col court. Le calcanéum a un tubercule péronéen bien développé et distal. Les facettes entre les deux os reflètent leur mobilité relative. L'ensemble des caractères indiquent une locomotion rapide, des mouvements de flexion-extension étendus et de fréquentes rotations du pied. Paschatherium est interprété comme un arboricole de type sciuridé. Les comparaisons effectuées avec le Macrocranion de Dormaal et un Hyopsodus nord-am6ricain montrent: des ressemblances partielles entre les astragales de Paschatherium et Macrocranion, probablement dues à des convergences fonctionnelles; une grande similitude des calcanéums de Paschatherium et Hyopsodus, indiquant probablement leur parenté. Nous confirmons le placement de Paschatherium dans les condylarthres hyopsodontidés. Les diff6rences entre les astragales de Paschatherium et Hyopsodus indiquent une divergence adaptative marquée entre les deux genres. Les ressemblances entre l'astragale de Paschatherium et celui des hyracoïdes nous font spéculer sur un possible scénario adaptatif concernant l'origine de ces derniers, scénario qui va à l'encontre du concept de Pantomesaxonia. Avec d'autres caractères. ces ressemblances pourraient suggérer une parenté des hyopsodontidés et des hyracoïdes (et téthythères).
-
Les insectivores s.s. (Mammalia, Lipotyphla) de la transition Paléocène-Eocène de Dormaal (MP7, Belgique): implications biochronologiques et Paléogéographiques
- Au moins sept espèces d'insectivores Lipotyphla appartenant à cinq genres et à trois familles sont présentes à Dormaal. Deux espèces de Remiculus, R. cf. deutschi et R. delsatei n. sp.. sont décrites ainsi que deux formes laissées en nomenclature ouverte. Les variabilités intraspécifiques de Macrocranion vandebroeki, M. germonpreae, Leptacodon dormaalensis et Wyonycteris richardi sont traitées et les comparaisons avec les insectivores des autres gisements europeens et américains, d'âge proche, sont réalisées et interprétees en termes de lignées évolutives. Les faunes américaines présentant le plus de similitudes avec celle de Dormaal sont les faunes de Willwood Formation (Wyoming) situées entre les niveaux du Clarkforkien 3 et du Wasatchien 1.
-
Quartairgeologische Kaart en Toelichting Veurne-Roeselare (1/50.000). Vlaamse Overheid, 39p
-
Mammal bearing conglomerate. Meudon section
-
Agaristoxylon garennicum Gerrienne et al., gen. et sp. nov. an arborescnet Ericacae from the Belgium Upper Paleocene: palaeoenvironmental implications
-
The Dormaal Sands and the Palaeocene/Eocene boundary in Belgium
-
Les élasmobranches de la transition Paléocène-Eocène de Dormaal (Belgique): implications biostratigraphiques et paléobiogéographiques
-
Mammals from the Paleocene-Eocene transition in Belgium (Tienen Formation, MP7): Paleobiogeographical and biostratigraphical implications
-
The creodonts (mammalia, Ferae) from the Paleocene-Eocene transition in Belgium (Tienen Formation, MP7)
- Study of the dental remains of creodont mammals from the Paleocene-Eocene transition in Belgium (Tienen Formation, reference-level MP7) allows seven species to be recognized, four of which belong to the family Hyaenodontidae and three to the Oxyaenidae. The four hyaenodontid species, which are new to science, present numerous symplesiomorphic characteristics. They represent the oldest hyaenodontids of northern Europe and are shown to be the most primitive representatives of the sub-family Hyaenodontinae known so far. They are closely related to the oldest North American species but the morphological differences between them demonstrate that they are not vicariant species. Thus, the Belgian species could be at the origin of the American hyaenodontid lineages or belong to lineages already distinct but recently differentiated from common ancestors slightly older than both of these species groups. As for oxyaenids, their dental morphology shows that they could originate from the North American Paleocene lineages, although their small size does not support this hypothesis. The smallest Belgian creodont, Prototomus minimus n. sp. is remarkable in that it may present sexual dimorphism in mandibular morphology.


