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Search publications of the members of the Royal Belgian institute of natural Sciences

Proceedings Reference Approche des marqueurs carpologiques du statut socio-économique durant le Moyen Âge central dans le nord de la France
Les analyses carpologiques d’un ensemble de six sites situés, pour la plupart, en région Picardie, nous ont permis, dans le cadre d’une thèse soutenue en 2011, d’appréhender l’exploitation des ressources végétales et les pratiques alimentaires de la France septentrionale entre le Xe et le XIIe siècle. En dépit de biais taphonomiques importants, dus à un matériel conservé par minéralisation et carbonisation, très érodé, une grande variété d’espèces a pu être identifiée. Sur les six sites étudiés, quatre sont de milieux aisés. De nombreux carporestes, retrouvés en particulier dans des contextes de latrines et/ou fosses dépotoir ont permis d’appréhender les pratiques alimentaires des populations étudiées. A la lumière de celles-ci, les indices carpologiques caractéristiques du niveau socio-économique d’un site sont principalement discutés. Des indicateurs directs (présence de certaines espèces, taille du spectre taxonomique…) et indirects (mode d’administration, préparation culinaire, qualité des denrées, type d’associations…) sont définis et approchés.
Proceedings Reference GESTION ET IMPACT DES DECHETS EN MILIEU URBAIN : L’ETUDE INTERDISCIPLINAIRE D’UN QUARTIER ARTISANAL DU XIIIE S. A BOURGES (ZAC AVARICUM)
A l’occasion des fouilles préventives réalisées sur le site de la ZAC Avaricum à Bourges, une approche géoarchéologique a été développée en parallèle des études stratigraphiques et mobilières traditionnelles. Localisé à l’intérieur de l’enceinte médiévale, le site correspond à une large fenêtre d’1,2 ha ouverte au bas du versant septentrional de l’éperon calcaire, dans une zone humide traversée par un cours d’eau, l’Yévrette. Cette rivière, probablement canalisée à la fin du haut Moyen Age, polarise un quartier d’habitat qui se densifie à partir de la fin du 12e s. Le 13e s. est marqué par l’intensification des activités artisanales, attirées par la rivière. Dans ce contexte, un moulin est aménagé en 1180 dans le cours de la rivière. La fonction de cette imposante structure hydraulique, rare exemple attesté en France en milieu urbain, pourrait être en lien avec les officines de tannerie (plains utilisant la chaux et la cendre, autres cuves utilisant des agents tannants) déjà en activité au milieu du 12e s. en berges nord et sud de la rivière (moulin à tan ? à foulons ?). Le cuir ainsi obtenu est alors utilisé sur place par les cordonniers dont les dépotoirs, découverts partiellement dans l’Yévrette (chutes de découpe, objets en cours de réparation, outils), montrent qu’ils ont réparé et produit des chaussures durant tout le 13e siècle. En parallèle, des épandages massifs d’ossements (mandibules et bas de pattes de bœuf), dans des cours ou des fonds de parcelle, attestent le traitement intensif de carcasses animales pour l’extraction de graisse, de peaux et de corne, qui entrent dans la chaîne opératoire de la tannerie, de la corroierie, peut-être de la chamoiserie et de la cornaterie. La démarche interdisciplinaire, associant micromorphologie, analyses chimiques, archéozoologie, microarchéologie, carpologie, palynologie et paléoparasitologie, a permis de mettre en évidence la spatialisation des activités artisanales à travers la nature, la distribution et l’agencement des rejets (rejets spécialisés ou mixtes, en fosses ou sous formes d’épandages, parfois réutilisés comme remblais pour la voirie et pour certains correspondant à des dépotoirs collectifs). L’impact des activités artisanales, centrées principalement autour de la tannerie et du traitement des matières animales, se traduit par une contamination des sols sous la forme de produits minéraux et organiques (ossements, jus de décomposition, pépins de raisin, cendres et chaux …). Au début du 14e s., la disparition des activités artisanales polluantes se double d’une reconstruction quasi intégrale du quartier, précédée d’une importante campagne de remblais d’exhaussement : l’habitat se densifie, se réorganise sur une trame redevenue stricte de parcelles laniérées, avec la systématisation des boutiques en façade de rue et les zones de jardins et de rejets domestiques sont reportées encore plus au nord. Plus que de simples initiatives privées, ces modifications témoignent peut-être d’une politique d’urbanisme repensant la salubrité des lieux, en même temps qu’une réorientation, davantage commerciale, du quartier.
Proceedings Reference LES SEMENCES MINERALISEES EN CONTEXTE ARCHEOLOGIQUE : APPROCHES DESCRIPTIVE ET TAPHONOMIQUE
En contexte archéologique, la minéralisation des semences concerne, en premier lieu, celles qui ont été rejetées dans un état non carbonisé. On peut distinguer deux formes de minéralisation : la biominéralisation et la perminéralisation. C’est la seconde qui s’avère être la plus courante. Elle a souvent été observée dans les dépotoirs de sites urbains historiques. Des recherches effectuées depuis plus de vingt ans (Green 1979[4], Carruthers et Glamorgan 1991[1]) ainsi que d’autres plus récentes (Carruthers 2000[2], Carruthers et Straker 2000[3], McCobb et al. 2001[5] et 2003[6]) ont permis de mieux approcher les facteurs et les processus biochimiques de cette forme de préservation. La perminéralisation résulte de l’imprégnation des tissus de la graine et des cavités par une solution minérale se mettant en place lors de la décomposition de la matière organique, durant la période d’enfouissement. Un environnement spécifique est requis car ce phénomène semble dépendre de nombreux facteurs. Par ailleurs, les composés minéraux de remplacement peuvent être divers. Signalées en France plus souvent dans les sites d’îlots urbains des périodes historiques (Cour Napoléon du Louvre à Paris[8], Tour des Salves à Vincennes, Rigny-Ussé[9], Saint-Pierre Lentin à Orléans, Grosse Tour de Bourges[10], Hôtel Saint-Jean à Toulouse) mais aussi ruraux (Les Murailles à Distré, ou Saint-Mézard à Lestagnac[11]) (travaux de Ruas 1986-2003), les semences minéralisées ont, jusqu’à présent, montré qu’elles prenaient le plus souvent la forme d’une empreinte interne plus ou moins fidèle de la semence ; toute portion des téguments externes ou de leur ornementation ayant disparu, dans la plupart des cas. La détermination se révèle d’autant plus difficile que cette minéralisation peut être suivie par des recristallisations et/ou une érosion chimique de l’élément, mais aussi survenir sur des restes carbonisés : les semences prenant alors des formes et des aspects fort différents. Grâce à l’examen qualitatif d’un plus grand nombre de restes minéralisés dans les contextes de la motte castrale de Boves (Somme), du prieuré de Saint-Leu d’Esserent (Oise) et du site palatial des Hallettes à Compiègne (Oise), une diversité des tissus végétaux affectés et une variabilité du degré de minéralisation ont pu être mieux distinguées. En outre, un atlas de détermination des semences minéralisées a été réalisé. S’agissant d’un processus biogéochimique complexe, seules des analyses spécialisées prenant en compte à la fois les tissus constitutifs des semences et les paramètres taphonomiques de leur conservation (traitements subis en amont de leur dépôt, contexte d’enfouissement) peuvent permettre de comprendre la cinétique de ce processus et les conditions de son apparition. De nouveaux éléments de réponses ont été obtenus aux travers des expérimentations de minéralisation in vitro et des analyses chimiques (à l’aide d’un ESEM avec diffraction de RX) effectuées sur diverses semences minéralisées découvertes sur les sites médiévaux du nord de la France dans la thèse de S. Preiss (2011) [7]. Ils ont permis, entre autres, de déterminer certaines conditions du milieu ambiant inductrices de la minéralisation et d’observer la composition chimique des constituants selon les espèces concernées, les tissus des semences et les structures archéologiques dont elles sont issues. Ce travail présente l’acquis des connaissances et les derniers résultats. Il insiste sur la conservation différentielle des restes et s’interroge sur la valeur indicatrice et les biais de cette fossilisation quant à l’origine des assemblages carpologiques dans les niveaux archéologiques, la nature des dépôts, et, en conséquence, quant à la fonction des structures dans lesquelles ils sont ainsi conservés, la représentativité des spectres alimentaires enregistrés et la possibilité d’en appréhender l’évolution et les pratiques d’assainissement. [1]Carruthers W. & Glamorgan H. (1991) « Mineralised plant remains: some examples from sites in Southern England », dans Hajnalová E. (éd.), Palaeoethnobotany and Archaeology, 8th symposium of I.W.G.P., Acta Interdisciplinaria Archaeologica, Nitra-Nové-Vozokany, vol. 7, p. 75-80. [2]Carruthers W.J. (2000) « Mineralised plant remains », dans Lawson A.J. (éd.), « Potterne 19825, animal husbandry », dans later prehistoric Wiltshire, Wessex Archaeology Report 17, Wessex Archaeology, Salisbury, p. 72-84. [3]Carruthers W.J. & Straker V. (2000) « Comparison between mineralised and charred plant assemblages », dans Lawson A.J. (éd.), Potterne 1982-5: animal husbandry in later prehistoric Wiltshire. Wessex Archaeology Report 17, Salisbury, p. 91-95. [4]Green F.J. (1979) « Phosphatic mineralization of seeds from archaeological sites », Journal of Archaeological Science, vol. 6, p. 279-284. [5]McCobb L.M.E., Briggs D.E.G., Evershed R.P. & Hall A.R. (2001) « Preservation of fossil seeds from a 10th Century AD Cess Pit at Coppergate, York », Journal of Archaeological Science, vol. 28, p. 929-940. [6]McCobb L.M.E., Briggs D.E.G., Carruthers W.J. & Evershed R.P. (2003) « Phosphatisation of seeds and roots in a Late Bronze Age deposit at Potterne », Journal of Archaeological Science Wiltshire, UK, vol. 30, p. 1269-1281. [7]Preiss S. (2011) « Exploitation des ressources végétales et pratiques alimentaires dans le Nord de la France entre les Xe et XIIe siècles : études carpologiques de la motte castrale de Boves (Amiens, Somme) et des sites environnants », Volume I (texte), 413 p., Volume II (Figures), 164 p., Volume III (Annexes), 124 p. [8]Ruas M.-P. (1986). « Une approche du paléoenvironnement végétal par l'étude des semences. La carpologie. », in : de Kisch Y. & Trombetta P.-J. (dir.), « Une approche de l'Homme dans son environnement VIIe - XVIIe siècle. Grand Louvre - Fouilles archéologiques de la Cour Napoléon. Paléoenvironnement et fouilles urbaines », Direction Régionale des Antiquités Historiques de l'Ile de France, Paris : 22 - 24. [9]Ruas M.-P. (1995). « Légumes, épices et fruits consommés au presbytère de Rigny dans la première moitié du XVIe siècle : données carpologiques. », in : Zadora-Rio- E. & Galinié H. (dir.), « La fouille de l’ancien centre paroissial de Rigny (commune de Rigny-Ussé, Indre-et-Loire). Deuxième rapport préliminaire (1992 - 1994) », Revue Archéologique du Centre de la France , 34 : 229-246. [10]Ruas M.-P. (1999). « Les restes alimentaires végétaux. », in : Monnet C. (dir.), La vie quotidienne dans une forteresse royale. La Grosse Tour de Bourges (fin XIIe s. milieu XVIIe siècle), Editions de la ville de Bourges, Service d'Archéologie Municipal, (Monographie, 1) : 341-356. [11]Ruas M.-P. & Bouby L. (2003) « L’apport de la carpologie : les plantes identifiées à Lestagnac ; les débuts de la viticulture. », in : Petit-Aupère C. & Sillières P. (dir.), Lestagnac, un chai gallo-romain. La viticulture en Gascogne antique, catalogue de l’exposition août-oct 2003, Centre Patrimonial Départemental, abbaye de Flaran (Gers) : 24-29.
Proceedings Reference Geoarchaeology and (pre)-urban wetland archaeology: some case studies from Brussels (Belgium)
Article Reference Land cover fragmentation using multi-temporal remote sensing on major mine sites in southern Katanga (Democratic Republic of Congo).
Inbook Reference Mineralogical Characterization of Cobaltic Oxides from the Democratic Republic of Congo
Article Reference Mineralogical characterization of cassiterite concentrates from quartz vein and pegmatite mineralization of the Karagwe-Ankole and Kibara Belts, Central Africa.
Inproceedings Reference Ordinary Chondrite classification by Raman Spectroscopy
Article Reference Zeezand zoeken in de Lage Landen
Unpublished Reference Geologisch en hydrogeologisch 3D model van het Cenozoïcum van de Roerdalslenk in Zuidoost-Nederland en Vlaanderen (H3O – Roerdalslenk)
MANAGEMENTSAMENVATTING Geologische gegevens werden in het verleden hoofdzakelijk aangemaakt binnen de landsgrenzen. Hierdoor waren er steeds grote onzekerheden in de data aan de landsgrenzen, maar ook aansluitingsproblemen tussen de (hydro)geologische modellen van aangrenzende landen. Deze problemen worden nog uitvergroot in geologisch complexe gebieden zoals de Roerdalslenk die onder andere doorheen Zuidoost-Nederland en Noordoost-Vlaanderen loopt. Daarnaast zijn de indeling en de naamgeving van de eenheden in de ondergrond verschillend tussen Nederland en Vlaanderen, wat correlaties over de grens heen nog complexer maakt. Bovenstaande problemen bemoeilijken sterk het beheer van de ondergrond in de grensregio’s. Om die reden leefde bij partijen in Nederland (Provincie Limburg en Provincie Noord-Brabant) en Vlaanderen (Departement Leefmilieu, Natuur en Energie van de Vlaamse overheid en de Vlaamse Milieumaatschappij) de wens om de (hydro)geologische modellen van Nederland en Vlaanderen voor de Roerdalslenk op elkaar af te stemmen. In 2012 startte daarvoor het H3O-project, dat twee jaar zou lopen en zou uitgevoerd worden door de TNO, Geologische Dienst van Nederland en de Vlaamse organisatie VITO in samenwerking met de Belgische Geologische Dienst. De doelstelling van het H3O-project was om de verschillen tussen de bestaande (hydro)geologische interpretaties en modellen van het Nederlandse en Vlaamse deel van het projectgebied op een zodanige wijze vast te stellen, uit te zoeken en te verhelpen dat het resulterende grensoverschrijdende model één consistent geheel vormt. Beoogt werd om dit 3D geologische en hydrogeologische model voor het Cenozoïsche bereik samen te stellen op basis van de meest recente gegevens, kennis en inzichten zodat dit model geaccepteerd wordt als het referentiemodel van de Roerdalslenk. Om de opdrachtgevers te ondersteunen bij de inhoudelijke beoordeling van de tussen- en eindresultaten en om de acceptatie van het model te verzekeren, werd een Begeleidingscommissie in het leven geroepen die bestond uit geologische experts uit tal van domeinen. De eindresultaten van dit project zijn in 2014 opgeleverd. Niet alleen vormen de Nederlandse en Vlaamse delen van deze grensoverschrijdende modellen nu één consistent geheel, maar ook zijn beide modellen, door de wijze waarop ze tot stand zijn gekomen, onderling consistent met elkaar. De aldus bekomen geologische en het hydrogeologische modellen vormen daarmee het referentiemodel voor de geologische en hydrogeologische opbouw van het gebied. De gehanteerde correlaties tussen de Nederlandse en Vlaamse eenheden in de ondergrond kunnen verder als leidraad dienen voor toekomstige grensoverschrijdende projecten.
Article Reference A peculiar case of intraspecific variability in the Chinese Notholca dongtingensis (Rotifera: Monogononta: Brachionidae)
We review the rare Chinese rotifer Notholca dongtingensis Zhuge, Kutikova & Sudzuki, 1998, including abundant material collected during the winter months of 2009–2011 in and around the man-made Dishui Lake Southeast of Shanghai, PR China. Both an SEM study of its trophi and an account of its intraspecific variability are provided. The latter consists in particular of a unique and previously unknown type of spine formation involving the anterolateral spines, a character previously considered morphologically constant and even diagnostic in Notholca and related genera. The observations indicate that phenotypic plasticity invoked by a plesiomorphic triggering mechanism is not per se connected to the type or position of structures developed, but may activate responses resulting in the formation of quite different, autapomorphic structures throughout monogonont Rotifera.
Article Reference A historical ecology of the Ecrins (Southern French Alps): Archaeology and palaeoecology of the Mesolithic to the Medieval period
This paper elucidates the nature of human–environment interactions in a mountainous landscape (the southern zone of the Ecrins, French Alps) from the Mesolithic through to the Post-Medieval Period. We present an integrated programme of palynology, pedo- and archaeo-anthracology, and archaeology. These data permit the development of a historical ecology that allows us to differentiate between climatic and anthropogenic influences on vegetation, and the development of anthropogenic landscapes in an Alpine region. This study is of profound relevance for the broader understanding of human–environment interactions in ecologically sensitive environments both within the Alpine arc, but also beyond this region. We identify and explain evidence for possible human landscape management practices in a high altitude landscape. Palynology defines the broad floral context and evolution of the environment through the Holocene. Palynology also permits an assessment of human activities and practices (arable agriculture, pastoralism and haymaking). The combination of these data with anthracological and archaeological evidence permits a nuanced assessment of human interaction with the landscape. We consider phases of anthropological–ecological succession across the range of altitudes, from valley-bottom to the alpine zones in the Ecrins National Park. Four important stages of landscape use and change have been inferred from our evidence: the Mesolithic, the Chalcolithic/Bronze Age, Iron Age and Roman, and (Post)Medieval. During the Mesolithic (c. 8000–4500 BC), a major event is the expansion of fir in the montane stage. At higher altitudes, people exploit the ecotone, defined by the forest edge (or tree-line): an ideal zone for hunting. The Neolithic sees low-altitude clearances, but a continuation of hunting and low levels of human impact on high-altitude vegetation. The Chalcolithic/Bronze Age (2400–1000 BC) sees complex interplay of climatic changes, and the appearance of direct human intervention in the high altitude landscape as part of a new transhumant system. Although the Roman Period is characterised by phases of climatic amelioration after the deterioration of the Iron Age, the increase in human activity that is usually seen in low-lying areas is not reflected in the sub-alpine and alpine altitudes. The Medieval Period, including the Little Ice Age, witnesses a steady increase in human use of these landscapes, with forest manipulation and clearance becoming the defining characteristics of these areas. Despite the supposed inclement nature of the Little Ice Age, human activity achieves its zenith, and the combination people and climate produces the most open and managed landscape of the Holocene.
Article Reference Late Subatlantic history of the ombrotrophic Misten Bog (Eastern Belgium) based on high resolution pollen, testate amoebae and macrofossil analysis
Misten Bog has through time received homogeneous pollen rain dominated successively by Fagus, Quercus and Picea. Based on the limits separating six pollen zones across nine cores, we show that the areas of major peat production have moved with time from one side of the bog to the other. The reduction of thickness of peat was strongly dependant on the proximity of peat cutting area since the 12th Century. Before the cutting, an Alnus wood that encircled the bog regressed during the Vandal Minimum (500-800 AD) and never recovered. During this age interval, testate amoebae indicate a drier period on the peat bog. From the 12th to the 14th Centuries, there was a slight increase of non arboreal pollens linked to farming. From the 14th to the 16th Centuries testate amoebae indicate again a drier period on the peat bog but whether this is linked to climate change or human pressure is unclear. From the 16th Century onwards, Sphagnum sect. Cuspidata almost disappeared but Sphagnum imbricatum persisted until the 19th Century. Pollens linked to farming culminated again during the early part of the 19th Century. High concentration of Si, Ti and N are probably linked to the increasing farming in the neighborhood as well as to industrial mining processes in the region and might have influenced these changes on the peat bog. The theory of cyclical hollow/hummock succession versus rather stationary hummocks is discussed.
Article Reference Occupations néolithiques de plateau à Quincy-Voisins « ZAC de Ternoy » (Seine-et-Marne)
La fouille préventive du site archéologique de la "ZAC de Ternoy" à Quincy-Voisins (Seine-et-Marne) fait suite aux opérations de diagnostic positives réalisées en 2004 et 2007. La fouille de quelque 21300 m² a révélé la présence de plusieurs structures d’une occupation très érodée du Néolithique ancien (culture de Blicquy – Villeneuve-Saint-Germain), caractérisée par de nombreux anneaux en schiste et en terre cuite. En outre, quatre fosses profondes de type puits/citerne ont livré des dépôts intentionnels de faune (suidés, mustélidé et bovidé) et le rejet de produits du façonnage de lames de hache. Enfin, plusieurs structures superficielles pourraient être associées à une occupation tardive du Néolithique. Sur la base des datations au radiocarbone, une interprétation alternative des attributions chrono-culturelles est proposée.
Proceedings Reference High-resolution palynological Holocene record of the Misten peat bog (Belgium) : preliminary results
Proceedings Reference Microfossiles non polliniques, pollen et processus pédo-sédimentaires en contexte très anthropisé : le site du château de Brie-Comte-Robert
Proceedings Reference Les sanctuaires dans leur environnement : apport des analyses polliniques réalisées dans le nord de la France et la Belgique. Approche méthodologique
Proceedings Reference Food, technical and other plants from the late medieval monastic kitchen (14th–15th century) of Clairefontaine Abbey, Belgium
Proceedings Reference The last supper: multiproxy analyses of a Gallo-Roman votive meal in Belgium
Proceedings Reference Presence of Avena sp. in early Belgian Neolithic sites: a commensal weed or a real domesticate?
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