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Proceedings Reference The Middle Ages archaeobotanical data in Wallonia (southern Belgium): a review
Since the spring of 2011, a multidisciplinary team of bioarchaeology was established at the Royal Belgian Institute of Natural Sciences (IRSNB-KBINS). This team collaborates with the Public Service of Wallonia (SPW) and works on all “preventive archaeological sites” excavated in Wallonia (Southern Belgium). The majority of sites studied since the beginning of the implementation of this new service are dated to the medieval period. For several years, archaeobotanical studies were conducted more specific in Wallonia but rarely combined with other scientific studies and published. The purpose of this presentation is to review all existing archaeobotanical data for the medieval period in the Wallonia region and add those recently made by the new collaborations between archaeobotanists of the Institute (including seeds and fruit studies, wood charcoals studies, pollens studies and so one...). We can thus have an overview of the status and the nature of vegetation cover during this period of history and we can also have an approach of plant species harvested and consumed by medieval populations of current southern Belgium.
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Inproceedings Reference Villers-le-Bouillet : occupations antiques et du Haut Moyen Âge « a Lohincou »
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Proceedings Reference LES SEMENCES MINERALISEES EN CONTEXTE ARCHEOLOGIQUE : APPROCHES DESCRIPTIVE ET TAPHONOMIQUE
En contexte archéologique, la minéralisation des semences concerne, en premier lieu, celles qui ont été rejetées dans un état non carbonisé. On peut distinguer deux formes de minéralisation : la biominéralisation et la perminéralisation. C’est la seconde qui s’avère être la plus courante. Elle a souvent été observée dans les dépotoirs de sites urbains historiques. Des recherches effectuées depuis plus de vingt ans (Green 1979[4], Carruthers et Glamorgan 1991[1]) ainsi que d’autres plus récentes (Carruthers 2000[2], Carruthers et Straker 2000[3], McCobb et al. 2001[5] et 2003[6]) ont permis de mieux approcher les facteurs et les processus biochimiques de cette forme de préservation. La perminéralisation résulte de l’imprégnation des tissus de la graine et des cavités par une solution minérale se mettant en place lors de la décomposition de la matière organique, durant la période d’enfouissement. Un environnement spécifique est requis car ce phénomène semble dépendre de nombreux facteurs. Par ailleurs, les composés minéraux de remplacement peuvent être divers. Signalées en France plus souvent dans les sites d’îlots urbains des périodes historiques (Cour Napoléon du Louvre à Paris[8], Tour des Salves à Vincennes, Rigny-Ussé[9], Saint-Pierre Lentin à Orléans, Grosse Tour de Bourges[10], Hôtel Saint-Jean à Toulouse) mais aussi ruraux (Les Murailles à Distré, ou Saint-Mézard à Lestagnac[11]) (travaux de Ruas 1986-2003), les semences minéralisées ont, jusqu’à présent, montré qu’elles prenaient le plus souvent la forme d’une empreinte interne plus ou moins fidèle de la semence ; toute portion des téguments externes ou de leur ornementation ayant disparu, dans la plupart des cas. La détermination se révèle d’autant plus difficile que cette minéralisation peut être suivie par des recristallisations et/ou une érosion chimique de l’élément, mais aussi survenir sur des restes carbonisés : les semences prenant alors des formes et des aspects fort différents. Grâce à l’examen qualitatif d’un plus grand nombre de restes minéralisés dans les contextes de la motte castrale de Boves (Somme), du prieuré de Saint-Leu d’Esserent (Oise) et du site palatial des Hallettes à Compiègne (Oise), une diversité des tissus végétaux affectés et une variabilité du degré de minéralisation ont pu être mieux distinguées. En outre, un atlas de détermination des semences minéralisées a été réalisé. S’agissant d’un processus biogéochimique complexe, seules des analyses spécialisées prenant en compte à la fois les tissus constitutifs des semences et les paramètres taphonomiques de leur conservation (traitements subis en amont de leur dépôt, contexte d’enfouissement) peuvent permettre de comprendre la cinétique de ce processus et les conditions de son apparition. De nouveaux éléments de réponses ont été obtenus aux travers des expérimentations de minéralisation in vitro et des analyses chimiques (à l’aide d’un ESEM avec diffraction de RX) effectuées sur diverses semences minéralisées découvertes sur les sites médiévaux du nord de la France dans la thèse de S. Preiss (2011) [7]. Ils ont permis, entre autres, de déterminer certaines conditions du milieu ambiant inductrices de la minéralisation et d’observer la composition chimique des constituants selon les espèces concernées, les tissus des semences et les structures archéologiques dont elles sont issues. Ce travail présente l’acquis des connaissances et les derniers résultats. Il insiste sur la conservation différentielle des restes et s’interroge sur la valeur indicatrice et les biais de cette fossilisation quant à l’origine des assemblages carpologiques dans les niveaux archéologiques, la nature des dépôts, et, en conséquence, quant à la fonction des structures dans lesquelles ils sont ainsi conservés, la représentativité des spectres alimentaires enregistrés et la possibilité d’en appréhender l’évolution et les pratiques d’assainissement. [1]Carruthers W. & Glamorgan H. (1991) « Mineralised plant remains: some examples from sites in Southern England », dans Hajnalová E. (éd.), Palaeoethnobotany and Archaeology, 8th symposium of I.W.G.P., Acta Interdisciplinaria Archaeologica, Nitra-Nové-Vozokany, vol. 7, p. 75-80. [2]Carruthers W.J. (2000) « Mineralised plant remains », dans Lawson A.J. (éd.), « Potterne 19825, animal husbandry », dans later prehistoric Wiltshire, Wessex Archaeology Report 17, Wessex Archaeology, Salisbury, p. 72-84. [3]Carruthers W.J. & Straker V. (2000) « Comparison between mineralised and charred plant assemblages », dans Lawson A.J. (éd.), Potterne 1982-5: animal husbandry in later prehistoric Wiltshire. Wessex Archaeology Report 17, Salisbury, p. 91-95. [4]Green F.J. (1979) « Phosphatic mineralization of seeds from archaeological sites », Journal of Archaeological Science, vol. 6, p. 279-284. [5]McCobb L.M.E., Briggs D.E.G., Evershed R.P. & Hall A.R. (2001) « Preservation of fossil seeds from a 10th Century AD Cess Pit at Coppergate, York », Journal of Archaeological Science, vol. 28, p. 929-940. [6]McCobb L.M.E., Briggs D.E.G., Carruthers W.J. & Evershed R.P. (2003) « Phosphatisation of seeds and roots in a Late Bronze Age deposit at Potterne », Journal of Archaeological Science Wiltshire, UK, vol. 30, p. 1269-1281. [7]Preiss S. (2011) « Exploitation des ressources végétales et pratiques alimentaires dans le Nord de la France entre les Xe et XIIe siècles : études carpologiques de la motte castrale de Boves (Amiens, Somme) et des sites environnants », Volume I (texte), 413 p., Volume II (Figures), 164 p., Volume III (Annexes), 124 p. [8]Ruas M.-P. (1986). « Une approche du paléoenvironnement végétal par l'étude des semences. La carpologie. », in : de Kisch Y. & Trombetta P.-J. (dir.), « Une approche de l'Homme dans son environnement VIIe - XVIIe siècle. Grand Louvre - Fouilles archéologiques de la Cour Napoléon. Paléoenvironnement et fouilles urbaines », Direction Régionale des Antiquités Historiques de l'Ile de France, Paris : 22 - 24. [9]Ruas M.-P. (1995). « Légumes, épices et fruits consommés au presbytère de Rigny dans la première moitié du XVIe siècle : données carpologiques. », in : Zadora-Rio- E. & Galinié H. (dir.), « La fouille de l’ancien centre paroissial de Rigny (commune de Rigny-Ussé, Indre-et-Loire). Deuxième rapport préliminaire (1992 - 1994) », Revue Archéologique du Centre de la France , 34 : 229-246. [10]Ruas M.-P. (1999). « Les restes alimentaires végétaux. », in : Monnet C. (dir.), La vie quotidienne dans une forteresse royale. La Grosse Tour de Bourges (fin XIIe s. milieu XVIIe siècle), Editions de la ville de Bourges, Service d'Archéologie Municipal, (Monographie, 1) : 341-356. [11]Ruas M.-P. & Bouby L. (2003) « L’apport de la carpologie : les plantes identifiées à Lestagnac ; les débuts de la viticulture. », in : Petit-Aupère C. & Sillières P. (dir.), Lestagnac, un chai gallo-romain. La viticulture en Gascogne antique, catalogue de l’exposition août-oct 2003, Centre Patrimonial Départemental, abbaye de Flaran (Gers) : 24-29.
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Inproceedings Reference Plant use in Medieval and Post-Medieval Brussels, an overview of the macrobotanical records
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Proceedings Reference GESTION ET IMPACT DES DECHETS EN MILIEU URBAIN : L’ETUDE INTERDISCIPLINAIRE D’UN QUARTIER ARTISANAL DU XIIIE S. A BOURGES (ZAC AVARICUM)
A l’occasion des fouilles préventives réalisées sur le site de la ZAC Avaricum à Bourges, une approche géoarchéologique a été développée en parallèle des études stratigraphiques et mobilières traditionnelles. Localisé à l’intérieur de l’enceinte médiévale, le site correspond à une large fenêtre d’1,2 ha ouverte au bas du versant septentrional de l’éperon calcaire, dans une zone humide traversée par un cours d’eau, l’Yévrette. Cette rivière, probablement canalisée à la fin du haut Moyen Age, polarise un quartier d’habitat qui se densifie à partir de la fin du 12e s. Le 13e s. est marqué par l’intensification des activités artisanales, attirées par la rivière. Dans ce contexte, un moulin est aménagé en 1180 dans le cours de la rivière. La fonction de cette imposante structure hydraulique, rare exemple attesté en France en milieu urbain, pourrait être en lien avec les officines de tannerie (plains utilisant la chaux et la cendre, autres cuves utilisant des agents tannants) déjà en activité au milieu du 12e s. en berges nord et sud de la rivière (moulin à tan ? à foulons ?). Le cuir ainsi obtenu est alors utilisé sur place par les cordonniers dont les dépotoirs, découverts partiellement dans l’Yévrette (chutes de découpe, objets en cours de réparation, outils), montrent qu’ils ont réparé et produit des chaussures durant tout le 13e siècle. En parallèle, des épandages massifs d’ossements (mandibules et bas de pattes de bœuf), dans des cours ou des fonds de parcelle, attestent le traitement intensif de carcasses animales pour l’extraction de graisse, de peaux et de corne, qui entrent dans la chaîne opératoire de la tannerie, de la corroierie, peut-être de la chamoiserie et de la cornaterie. La démarche interdisciplinaire, associant micromorphologie, analyses chimiques, archéozoologie, microarchéologie, carpologie, palynologie et paléoparasitologie, a permis de mettre en évidence la spatialisation des activités artisanales à travers la nature, la distribution et l’agencement des rejets (rejets spécialisés ou mixtes, en fosses ou sous formes d’épandages, parfois réutilisés comme remblais pour la voirie et pour certains correspondant à des dépotoirs collectifs). L’impact des activités artisanales, centrées principalement autour de la tannerie et du traitement des matières animales, se traduit par une contamination des sols sous la forme de produits minéraux et organiques (ossements, jus de décomposition, pépins de raisin, cendres et chaux …). Au début du 14e s., la disparition des activités artisanales polluantes se double d’une reconstruction quasi intégrale du quartier, précédée d’une importante campagne de remblais d’exhaussement : l’habitat se densifie, se réorganise sur une trame redevenue stricte de parcelles laniérées, avec la systématisation des boutiques en façade de rue et les zones de jardins et de rejets domestiques sont reportées encore plus au nord. Plus que de simples initiatives privées, ces modifications témoignent peut-être d’une politique d’urbanisme repensant la salubrité des lieux, en même temps qu’une réorientation, davantage commerciale, du quartier.
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Proceedings Reference Archaeobotanical traces of food consumption in medieval and post-medieval Brussels (Belgium)
In the study of the historical development of a city, archaeobotanical research can be a valuable addition to archaeological and historical sources. It can give us a better understanding of human diet, trade networks, socio-economic differentiation, agricultural developments and environmental conditions in the past. The archaeobotanical research of the old city center of Brussels is still in its infancy but in the last two decades macroremains from 17 sites were studied. While in the first decade these analyses were done on a rather small scale, since 2008 the macrobotanical investigations are carried out more systematically. We give a synthesis of the present carpological data from Brussels, from which we define some research questions for future studies. The oldest analyzed contexts in Brussels date back to the 11th century, the youngest to the 19th/20th century. Of particular interest are the studies of waterlogged waste pits and latrines. In Brussels they often provide very good preservation conditions. Macrobotanical finds in these contexts give direct evidence of human food consumption and shed light on imported trade ware and the status of the users of the structures.
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Inproceedings Reference The settlement of the Cistercian abbey of Villers-la-Ville in the Thyle valley (Dyle tributary) during the 12th century: Archaeobotanical approaches.
The Cistercian abbey of Villers-la-Ville, situated between Brussels, Charleroi and Namur in Belgium, was founded in the 12th century and abandoned after the French Revolution at the end of the 18th century. The construction, architecture and distribution of buildings, courtyard and gardens of the abbey are recognized as very remarkable and exceptional. The site has also been classified as historical monument and remarkable site in 1972. The ruins of the abbey of Villers-la-Ville has been excavated for a long time. Since the end of the 19th century, it has been punctually excavated by some architects and religious. However, all of these results have never been published. It is only from 1985 that, thanks to the work of the Governance of Buildings to the consolidation of the ruins of the abbey, ongoing and regular excavations are undertaken. Indeed, since then, the History Center of Architecture and Building assumes an archaeological mission to support this project and since 1988 the Archaeological Service of Wallonia has excavated many parts of the site. While most of these excavations concern the architecture of buildings, for their restoration and rehabilitation, none of them, up to now, was interested in the period before and during the settlement: Why did the monks choose this site? How was the natural environment when they arrived? And how the abbey’ settlement affect this environment? To answer this question, several archaeobotanical analyses (pollen, fruit and seeds, wood and wood charcoal) have been undertaken for the first time in two different sectors of the abbey. The samples come from mechanical deep coring which have recently been done at the Gate of Brussels, the main gatehouse situated at the western part of the abbey, and at the former major mill situated more at the south.
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Proceedings Reference Pollen data and other archaeobotanical remains from the middle ages in wallonia (southern Belgium): A review
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Proceedings Reference Geoarchaeology and (pre)-urban wetland archaeology: some case studies from Brussels (Belgium)
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Inproceedings Reference Food production and consumption in Brussels (10th-15th century AD)
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