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Ultrastructure and chemistry of integumentary structures in an ornithischian dinosaur
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RBINS Staff Publications 2017
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Un anthracologue au secours des archéologues. Les datations radiocarbones d’un fossé circulaire à Givry déterminant l’âge du Bronze moyen
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RBINS Staff Publications 2016
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Un cheval du Bruxelles médiéval, souffrant d'un trouble de la colonne vertébrale
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RBINS Staff Publications 2023
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Un crâne de crocodilien du Paléocène inférieur de Chine recule l'apparition des crocodyloïdes en Asie
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Les plus anciens crocodiliens (Crocodylia) d’Asie ne sont représentés jusqu’à présent que par des alligatoroïdes et des planocraniidés. Bien que les crocodyloïdes ne soient pas connus avec certitude avant l’Éocène supérieur, l’hypothèse a été émise que des crocodyloïdes basaux de type Asiatosuchus étaient originaires d’Asie avant la fin du Paléocène. Nous décrivons ici un nouveau crocodyloïde fossile provenant du Paléocène inférieur du Bassin de Qianshan, province d’Anhui, Chine. Le crâne et le fragment de mâchoire inférieure associé présentent plusieurs caractéristiques typiques de crocodiliens juvéniles. Ils présentent également une combinaison de caractères non observés dans aucun autre taxon, ce qui justifie l’érection d’une nouvelle espèce et d’un nouveau genre. Les affinités phylogénétiques sont testées dans des analyses basées sur deux matrices de caractères récentes d’Eusuchia. Pour évaluer l’effet des caractéristiques juvéniles sur le résultat des analyses phylogénétiques, des spécimens juvéniles des crocodiliens actuels Alligator mississippiensis et Crocodylus niloticus ont été analysés de la même manière, montrant que l’effet de leur stade ontogénétique sur leur position dans l’arbre est minime. Nos analyses indiquent que le nouveau taxon de Qianshan occupe une position basale au sein des Crocodyloidea. La présence de ces derniers en Asie est donc reculée au Paléocène inférieur, soit 15 à 20 millions d’années plus tôt que ce que l’on pensait auparavant. De plus, nos résultats corroborent les hypothèses précédentes d’une route de dispersion paléocène des crocodyloïdes de type Asiatosuchus de l’Asie vers l’Europe.
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RBINS Staff Publications 2022 OA
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Un crâne de crocodilien du Paléocène inférieur de Chine recule l'apparition des crocodyloïdes en Asie
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Les plus anciens crocodiliens (Crocodylia) d’Asie ne sont représentés jusqu’à présent que par des alligatoroïdes et des planocraniidés. Bien que les crocodyloïdes ne soient pas connus avec certitude avant l’Éocène supérieur, l’hypothèse a été émise que des crocodyloïdes basaux de type Asiatosuchus étaient originaires d’Asie avant la fin du Paléocène. Nous décrivons ici un nouveau crocodyloïde fossile provenant du Paléocène inférieur du Bassin de Qianshan, province d’Anhui, Chine. Le crâne et le fragment de mâchoire inférieure associé présentent plusieurs caractéristiques typiques de crocodiliens juvéniles. Ils présentent également une combinaison de caractères non observés dans aucun autre taxon, ce qui justifie l’érection d’une nouvelle espèce et d’un nouveau genre. Les affinités phylogénétiques sont testées dans des analyses basées sur deux matrices de caractères récentes d’Eusuchia. Pour évaluer l’effet des caractéristiques juvéniles sur le résultat des analyses phylogénétiques, des spécimens juvéniles des crocodiliens actuels Alligator mississippiensis et Crocodylus niloticus ont été analysés de la même manière, montrant que l’effet de leur stade ontogénétique sur leur position dans l’arbre est minime. Nos analyses indiquent que le nouveau taxon de Qianshan occupe une position basale au sein des Crocodyloidea. La présence de ces derniers en Asie est donc reculée au Paléocène inférieur, soit 15 à 20 millions d’années plus tôt que ce que l’on pensait auparavant. De plus, nos résultats corroborent les hypothèses précédentes d’une route de dispersion paléocène des crocodyloïdes de type Asiatosuchus de l’Asie vers l’Europe.
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RBINS Staff Publications 2022 OA
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Un grand serpent palaeophiidé dans le Lutétien marin du Bassin du Bas-Congo, enclave de Cabinda, Angola
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Les expéditions scientifiques belges des 19ème et 20ème siècles ont permis de découvrir de nom-breuses localités fossilifères dans l’ouest de l’Afrique Centrale. Au moins 47 localités furent fouillées dans le cadre d’expéditions paléontologiques dont celles d’Edmond Dartevelle en 1933 et 1937-1938 ont fourni les plus importantes collections de vertébrés du Paléogène du Bassin du Bas-Congo. Parmi les spécimens récoltés dans les falaises de Landana (Cabinda, Angola) se trouvaient quelques vertèbres de serpent qui furent référées en 1964 au serpent aquatique Palaeophis aff. typhaeus. Une réévaluation récente des collections Dartevelle a permis d’identifier quelques vertèbres non décrites provenant de Landana et de la localité toute proche de Sassa Zao, permettant ainsi de compléter l’information concernant les pa-laeophiidés du Bassin du Bas-Congo. Les résultats de cette étude indiquent que tous les spé-cimens de Landana proviennent du même niveau stratigraphique (couches 31-32) et sont d’âge Lutétien sur base de la riche faune d’élasmobranches associés. La localité de Sassa Zao est également lutétienne sur base des élasmobranches, similaires à ceux de la couche 32 de Lan-dana. Toutes les vertèbres, 10 au total, peuvent être attribuées à une seule espèce de Pa-laeophis de grande taille. La largeur maximale au niveau des prézygapophyses est de 35 mm et la longueur maximale du centrum est de 27 mm. La faible compression latérale des vertèbres troncales, les ptérapophyses basses, les diapophyses peu développées ventralement et l’extension latérale marquée des zygapophyses indiquent que cette espèce appartient au grade « primitif » de Palaeophis et diffère des espèces du grade « avancé » telles que P. casei, P. littoralis, P. toliapicus, P. typhaeus, P. grandis, et P. nessovi. Au sein du grade « primitif », l’espèce du Bassin du Bas-Congo diffère de l’espèce géante P. colosseus (Lutétien, Mali) par sa taille plus petite, ses vertèbres proportionnellement plus longues, les cotyle et condyle de forme plus ovale et le zygosphène pas plus large que le cotyle; de P. africanus (Lutétien, Nige-ria) par l’épine neurale qui n’atteint pas le zygosphène et les hypapophyses plus courtes et non prolongées par une carène ventrale; de P. vastaniensis (Yprésien, Inde), P. virginianus (Ypré-sien, USA), et P. zhylan (Thanétien ou Yprésian, Kazakhstan) par les vertèbres moins compri-mées latéralement. En taille et morphologie l’espèce se rapproche le plus de P. maghrebianus (Yprésien, Maroc) mais diffère par des hypapophyses et paradiapophyses plus développées qui ne s’étendent pas postérieurement au-delà du cotyle. Cette nouvelle espèce était apparemment peu adaptée à la vie aquatique et était plus étroitement apparentée à l’espèce yprésienne nord-africaine P. maghrebianus qu’aux espèces lutétiennes d’Afrique de l’Ouest. Ce résumé est une contribution au projet BR/121/A3/PalEurAfrica financé par la Politique Scientifique Belge.
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RBINS Staff Publications 2017
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Un manuel de terrain pour standardiser les prélèvements des restes biologiques : une nécessité ou un luxe ? trois années d’expérience belge
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Sur un chantier de fouille, l’archéologue est très fréquemment confronté à des vestiges organiques, ou biorestes. Qu’ils soient visibles ou invisibles, rares ou abondants, ils sont souvent source de questionnements : que prélever ? Où, comment et en quelle quantité ? Quelles sont les conditions de stockage idéales ¬? Quelle est la marche à suivre pour tamiser les sédiments ? Confrontés à des prélèvements très disparates, souvent à vue, ou sans réelle question de recherche ainsi qu’à des méthodologies d’extraction très différentes, l’équipe d’archéosciences de l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique a décidé de rédiger un ouvrage visant à répondre aux questions des archéologues et à standardiser les processus d’échantillonnage afin de pouvoir disposer d’un matériel d’étude pertinent et cohérent. Nous mentionnerons les problématiques qui ont concouru à la genèse de ce manuel par quelques exemples de terrain, parcourrons rapidement ce qu'il propose et ce qu'il n'aborde pas et ferons un bilan de son impact auprès des archéologues quelques années après sa première parution fin 2016.
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RBINS Staff Publications 2019
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Un nouveau chiroptère archaeonycteridé dans l’Eocène inférieur du Sud de la France
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Les recherches récentes sur les premières chauves-souris ont montré que la diversification des chiroptères a démarrée relativement tôt dans l’Eocène inférieur. La diversité était la plus éle-vée en Europe et en Inde et était composée des familles Onychonycteridae, Icaronycteridae, Archaeonycteridae, Palaeochiropterygidae et Hassianycteridae. Cependant, en Europe, les plus anciennes espèces n’ont été décrites que du nord de l’Europe à l’exception d’Archaeonycteris? praecursor de l’Eocène inférieur de Silveirinha (MP7, Portugal) connu à partir d’une seule dent. Dans cette étude nous présentons un nouveau chiroptère du gisement de La Borie (MP8+9, Saint-Papoul, Aude). Il s’agit ici de la première espèce de l’Eocène infé-rieur du sud de l’Europe identifiée à partir d’une dentition relativement complète: environ 40 dents isolées et fragments de dentaires. Les dents sont nyctalodontes et présentent les carac-tères suivants: canines de taille modérée; p4 de taille moyenne avec un métaconide bien déve-loppé; m1-2 larges avec un hypoconulide très lingual et un entoconide élevé; P4 de taille moyenne; M1-2 avec un ectoflexus profond, un paraconule faible, un métaconule faible à ab-sent et une centrocrista ne rejoignant pas le bord labial; m3/M3 plus petites que m1-2/M1-2. Ces caractères indiquent que cette espèce appartient aux archaeonycteridés et est proche du genre Archaeonycteris. Elle diffère de l’espèce-type Archaeonycteris trigonodon de l’Eocène moyen de Messel (MP11, Allemagne), d’A. brailloni de l’Eocène inférieur de Mutigny et Avenay (MP8+9, France) et de Protonycteris gunnelli de l’Eocène inférieur de Vastan (Guja-rat, Inde) par sa taille environ 25 % plus petite. Elle est similaire en taille à Archaeonycteris? praecursor, A? storchi de Vastan et au nouvel archaeonycteridé de Meudon (MP7, France). Elle diffère de A? storchi par une p4 plus petite et un dentaire moins élevé et de l’espèce de Meudon par un hypoconulide plus lingual, un entoconide plus élevé et la postcristide plus longue. En fait, l’espèce de La Borie est très similaire à A? praecursor par la m2 présentant un entoconide haut et une postcristide longue; la différence principale étant l’hypoconulide qui est un peu plus lingual. Ce dernier caractère suggère une dilambdodontie plus avancée que chez A? praecursor, ce qui est en accord avec l’âge des deux localités. Les deux espèces sem-blent appartenir à la même lignée évolutive qui serait restreinte géographiquement au sud de l’Europe. A côté de cette espèce abondante, deux autres chiroptères sont présents à La Borie. Le premier, représenté par une seule M1 portant un hypocone, appartient vraisemblablement à un icaronycteridé. Le second, représenté par une M1 et une M2 de petite taille pourrait appar-tenir à un palaeochiropterygidé primitif. Ce résumé est une contribution au projet BR/121/A3/PalEurAfrica financé par la Politique Scientifique Belge.
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RBINS Staff Publications 2017
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Uncertainties associated with long-term observations of suspended particulated matter concentration using optical and acoustic sensors.
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RBINS Staff Publications 2018
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Uncovering the diversity and evolutionary histories of viruses from archived specimens from the Afrotropics
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RBINS Staff Publications 2023 OA