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Article Reference Using next-generation sequencing to improve DNA barcoding: lessons from a small-scale study of wild bee species (Hymenoptera, Halictidae)
Located in Library / RBINS Staff Publications 2018
Article Reference Contribution à l'étude de la faune des Prioninae du Laos (Coleoptera, Cerambycidae)
Located in Library / RBINS Staff Publications 2018
Article Reference Les monuments funéraires gallo-romains et l’emploi de la pierre dans la région occidentale de la Civitas Treverorum
1. Les monuments funéraires trévires 1.1. Introduction Les monuments funéraires des Trévires sont le sujet de deux projets de recherche, menés par l’Académie des Sciences Autrichienne en coopération avec l’Université de Luxembourg d’une part et l’Université de Francfort et le Rheinisches Landesmuseum Trier d’autre part (Mahler, 2017). L’objectif de cette contribution est de présenter quelques réflexions préliminaires sur les analyses pétrographiques effectuées dans le cadre du projet austro-luxembourgeois. La cité des Trévires, située en Gaule Belgique, est appréciée depuis longtemps pour la quantité et la richesse de ses monuments funéraires de l’époque gallo-romaine, dont ceux provenant de Neumagen (von Massow, 1932) et d’Arlon (Espérandieu, 1913 ; Colling et al., 2009), pour ne citer que les ensembles les plus célèbres. Toutefois, cet ensemble n'a jamais fait l'objet d'un traitement scientifique et d'une évaluation exhaustive, étant donné que la zone d'étude est située à la frontière linguistique franco-allemande et comprend quatre États modernes (Kremer, 2018a ; Kremer, 2018b). De plus, les nouvelles découvertes des dernières décennies, comme celle du mausolée de Bertrange (Krier, 2003 ; Kremer, 2009) ou des monuments du Titelberg (Kremer, 2019), apportent des éclairages nouveaux sur l'évolution de la situation dans cette région et invitent à une enquête approfondie de l’ensemble des monuments connus. Dans le cadre du projet austro-luxembourgeois sur la partie occidentale de la civitas Treverorum, des analyses pétrographiques ont été initiées d’abord afin d'assurer une caractérisation et une détermination de provenance correctes des matériaux pierreux utilisés, ensuite afin d'obtenir des données nouvelles sur des questions d'organisation d'ateliers, de chronologie ou de relations économiques. Nous espérons contribuer à une meilleure compréhension de l'utilisation de la pierre dans le Nord de la Gaule, où la région trévire constituait une tache blanche sur la carte (Boulanger & Moulis, 2018). Une sélection représentative a été faite parmi les monuments accessibles de la zone de recherche ; toutefois, en l’absence d’exhaustivité, les résultats concernant la fréquence d'apparition des matériaux n’ont pas de valeur statistique. Ont été analysés les blocs de monuments funéraires exposés dans les musées de Luxembourg (MNHA), Arlon, Virton, Buzenol et Trèves. Des prélèvements ont été réalisés sur une série d’échantillons mise à disposition par le Centre national de recherche archéologique (CNRA) du Grand-Duché de Luxembourg. - Joint project FWF/FNR I 2269-G25: « Funerary Monuments from Western civitas Treverorum in an Interregional Context. The Inter-Connected Evaluation of a Socio-Historically Relevant Category of Finds ». Direction de projet : Gabrielle Kremer, ÖAI/ÖAW (lead) et Andrea Binsfeld, UniLu. Nous remercions les membres de l’équipe Sophie Insulander, Jean Krier, Sebastian Mühling et Christine Ruppert ainsi que les collègues du CNRA et du MNHA Luxembourg, du IAL et des Musées d’Arlon, Virton et Trèves. - Projet financé par la DFG : « Römische Grabdenkmäler aus Augusta Treverorum im überregionalen Vergleich: mediale Strategien sozialer Repräsentation ». Direction de projet : Anja Klöckner et Markus Scholz, Univ. Francfort, et Marcus Reuter, RLM Trier.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference Economie de la pierre meulière sur la Meuse moyenne au tournant de notre ère (la Tène finale – haut-Empire romain) : les meules en poudingue de Burnot.
Introduction L’étude du mobilier en pierre fait désormais partie des analyses incontournables après toute opération de fouille. Elle apporte des informations sur l’approvisionnement en matières premières, sur leur usage et sur les modalités de leur mise en forme. Abordée de manière diachronique, elle permet de déceler les variations des pratiques techniques et économiques au cours du temps. L’étude des meules est devenue emblématique de cette discipline géo-archéologique puisqu’elle met en évidence des dynamiques économiques qui ont des répercussions sur le cadre social des populations. Au cours du temps, des roches spécifiques ont été sélectionnées pour répondre à des besoins précis, en lien avec l’un des secteurs les plus primordiaux qui soient : celui de l’alimentation. Un véritable système de recherche de la ressource, d’exploitation, de production, de transport et de commercialisation s’est établi pour approvisionner des populations plus ou moins proches des lieux de production et désireuses d’acquérir et d’utiliser des marchandises efficaces et parfois esthétiques. Au début du 5e siècle av. J.-C. dans le nord-est de la péninsule ibérique, les techniques de mouture bénéficient d’un progrès qui s’étend progressivement à toute l’Europe de l’ouest, à savoir le passage du mouvement alternatif (moulin va-et-vient) au mouvement rotatif. Le moulin rotatif arrive en Gaule du nord à partir de la seconde moitié du 3e siècle av. J.-C. (La Tène moyenne), mais le moulin reste encore domestique. Le saut technologique que l’on observe durant l’époque gauloise est donc plus qualitatif que quantitatif : les conditions de la préparation alimentaire s’améliorent nettement, dans un cadre socio-économique qui varie peu, celui du foyer familial. Ce n’est que dans la première moitié du 1er siècle de notre ère, avec le regroupement des populations dans les villes, les camps militaires et les grands établissements ruraux, que s’installent de grands moulins à eau ou à traction animale dont les meules commencent à être produites par les ateliers régionaux. Ces derniers s’étaient déjà adaptés au passage du moulin va-et-vient au moulin rotatif : malgré une courte période d’une à deux générations pendant laquelle ont été préférées des roches tendres , les matériaux durs exploités au moins depuis le Néolithique pour la confection de meules va-et-vient sont repris en main dès la fin de La Tène moyenne pour produire des meules rotatives. En Germanie inférieure et dans le Nord de la Gaule, la plupart des carrières de meules rotatives identifiées ont ainsi livré des ébauches de meules va-et-vient antérieures à la fin de l’époque gauloise : respectivement dans les coulées volcaniques de l’Eifel (HÖRTER, 1994 ; MANGARTZ, 2008), dans le secteur d’Hirson/Macquenoise (Aisne/Hainaut - PICAVET et al., 2018) et à Lustin (Namur) dont les gisements nous intéressent ici. Si toutes ces carrières ont produit des meules rotatives à La Tène finale (La Tène moyenne est mal appréhendée en Belgique), puis à l’époque romaine, les carrières elles-mêmes et leurs ratés de fabrication sont encore méconnus. Un travail de prospection de longue haleine en milieu forestier a pour objectif de les caractériser. Les carrières de Lustin, situées dans le Bois des Acremonts et dans le Bois de Nîmes (prov. Namur, Belgique), ont été parcourues par Dominique Daoust (fig. 1). Il a identifié plusieurs dizaines d’ébauches de meules rotatives manuelles dont les dimensions évoquent une datation gauloise et/ou romaine précoce (autour d’une quarantaine de centimètres, parfois moins). Le travail d’analyse de ces ébauches, toujours en cours, permet aujourd’hui de préciser les modalités de l’exploitation du conglomérat rouge dit « Poudingue de Burnot » autour de la moyenne vallée de la Meuse à ces périodes anciennes. Les productions de ces carrières sont essentiellement connues par leur diffusion sur les sites de consommation en Belgique et dans le Nord de la France. Leur reconnaissance est assurée par les descriptions pétrographiques des géologues Gilles Fronteau et Éric Goemaere, qui pointent la Formation de Burnot (unité lithostratigraphique autrefois appelée « Poudingue de Burnot » et d’âge burnotien, étage aujourd’hui tombé en désuétude : DEJONGHE et al., 2006) et nous autorisent à identifier les niveaux géologiques d’origine du matériau. Notons que la Formation de Rivière qui la surmonte directement peut apparaître dans les mêmes carrières et a pu fournir des meules ponctuellement. À la faveur d’une archéologie préventive dynamique et à l’issue de deux thèses de doctorat (RENIERE, 2018 ; PICAVET, 2019), l’enregistrement de nombreux produits finis géolocalisés dessine les contours de leur aire de répartition en Gaule du nord, tout en fournissant des appuis chronologiques solides. Recensées entre La Tène finale et le Haut-Empire romain, parfois jusqu’au début du 3e siècle, les meules en Poudingue de Burnot occupent ainsi une région située entre celle approvisionnée par les carrières dites de Macquenoise à l’ouest (Hirson/Macquenoise : PICAVET et al., 2018) et celle qui reçoit les productions l’Eifel à l’est (Mayen, Rhénanie-Palatinat : MANGARTZ, 2008), alors que les grès quartzitiques tertiaires sont majoritaires au nord et au nord-ouest chez les Ménapiens au Haut-Empire (RENIERE et al., 2016). Faisant le lien entre les carrières et les produits de consommation rejetés après usage, une cargaison de produits semi-finis draguée dans la Meuse au début du 20e siècle évoque enfin leur transport aval vers la ville romaine de Namur où l’on peut envisager la présence d’ateliers de finition et de redistribution (cf infra).
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference Black adzes in the Early Neolithic of Belgium. Contribution of the Raman microspectrometry and petrography in the characterization and sourcing
Ancient Neolithic (Linear Pottery Culture) adzes originate from settlements and workshops accompany the neolithization of Belgium. They are made from a wide range of extraregional lithic raw materials such as metamorphic green rocks (amphibolite) and black volcanic rocks (‘basalt’) beside more local or regional raw material as flints, light-coloured (sedimentary and lightly metamorphic) quartzites and fine-grained black rocks. Another material source included black lydites (Cambrian nodular phtanite of Céroux-Mousty and Lower Namurian banded phtanites) and dark grey Lower Namurian silicified sandstones called ‘Micaceous sandstones of Horion-Hozémont’. The discovery of the workshop of Noir Fontaine near the city of Liège in the 1970s and 1980s provides exceptional assemblage available for updating analytical studies. This research focuses on the multi-scale characterization, the discrimination and sourcing of the different types of fine-grained black materials composing Ancient Neolithic adzes found in Belgium. Their black colour results from finely dispersed organic matter, but the absence of palynomorphs does not allow a biostratigraphic ascription. Additional petrographical analyses (Optical Petrography - OP, Scanning Electronic Microscopy - SEM), X-ray diffraction (XRD), chemical analyses (Energy Dispersive Spectroscopy - EDS) and measuring the degree of graphitization of the organic matter through Raman microspectrometry have been decisive in identifying the geological and geographical provenances by comparing the acquired results with geological reference samples collected in the field or through reference collections. The distribution of the different black coloured rocks shows that Cambrian lydites are coming from a very restricted area and were preferred to other more local rock sources.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference Rome à la campagne : les décors de marbre de la villa de la Grande Boussue à Nouvelles (Mons, Belgique).
Introduction Les vestiges de la villa de Nouvelles s’étendent sur plusieurs parcelles situées à l’intersection des localités hennuyères de Nouvelles, Harveng et Asquillies, au sud de Mons (fig. 1). Découverts par Émile de la Roche de Marchiennes à la fin du XIXe siècle au lieu-dit « Grande Boussue » ou « Petit Bavay », ils ont fait l’objet de dix-huit campagnes de fouilles entre 1964 et 1985, à l’initiative de la famille Leblois. Les résultats confirmeront l’importance et la richesse de cet établissement rural élevé en territoire nervien, à environ 16 km à peine de Bavay . Ces travaux seront complétés dans les années 1990 par quelques petites interventions ponctuelles conduites par l’asbl Recherches et Prospections archéologiques en Wallonie et par le Service Public de Wallonie. La villa se développe en bordure d’un léger promontoire descendant en pente douce vers le nord-est, entre les deux affluents principaux de la Trouille, le By (ou Ruisseau d’Asquillies) et la Wampe. Sa partie haute surplombe le paysage, offrant ainsi une vue panoramique sur plusieurs kilomètres. Le site accueille tout d’abord une occupation laténienne de nature encore imprécise, à laquelle succède, dans la première moitié du Ier siècle apr. J.-C., un établissement cerné d’un vaste enclos de plan quadrangulaire de près de 2 hectares. Au tout début du IIe siècle, ces structures disparaissent au profit de la création d’un très grand corps de logis conçu en trois ailes. Il ouvre vers le sud-est, sur une cour d’environ 80 m de large, et domine la cour agricole par sa position naturellement surélevée. Dès cette période, cet ensemble peut être qualifié de « grande villa à pavillons multiples alignés », une formule architecturale typiquement gallo-romaine, à laquelle répondent les établissements ruraux parmi les plus évolués du Nord de la Gaule (fig. 2) . Outre ses grandes dimensions - estimées à plus de 4 hectares - et la conception symétrique de ses bâtiments, l’établissement présente les caractéristiques ornementales d’une résidence aristocratique, comme en témoignent l’abondance des restes décoratifs et la construction d’un aqueduc long d'1,5 km, en amont du ruisseau d’Asquillies. Cette conduite avait certainement pour fonction principale d’alimenter, via un bassin de distribution dans l’aile sud, une suite thermale aménagée dans l’aile nord. Une dernière campagne de transformation et d’embellissement entreprise à la fin du IIe siècle ou au début du IIIe siècle marque alors l’apogée de son développement monumental. À cette époque, les trois ailes du corps de logis totalisent une longueur cumulée d’environ 300 m. Les façades sont agrémentées de portiques et l’ensemble possède plusieurs pièces décorées, dont la suite thermale. Mais dans le troisième quart du IIIe siècle, un violent incendie détruit l’aile sud et au moins l’un des pavillons dans la pars rustica. L’absence de réaménagement donne l’impression que la villa est alors délaissée par ses propriétaires. Les vestiges seront ensuite exploités comme carrière par les habitants des villages voisins au XVIIe siècle, achevant ainsi la destruction du corps de logis, dont les ruines disparaîtront progressivement avec la mise en culture des terres. (...)
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference Editorial. Citizen scientists as effective collaborators in different disciplines of environmental sciences
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference Notes on the Genus Aegolipton Gressitt (Coleoptera, Cerambycidae, Prioninae), with Descriptions of a New Species and Female of A. bawangum Komiya
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference A new ant-eating spider genus Sufascar (Araneae: Zodariidae) endemic to Madagascar: a considerable extension of the dual femoral organ clade
Located in Library / No RBINS Staff publications
Article Reference Long-Term Subsidence Monitoring of the Alluvial Plain of the Scheldt River in Antwerp (Belgium) Using Radar Interferometry
The coupled effects of climate change, sea-level rise, and land sinking in estuaries/alluvial plains prone to inundation and flooding mean that reliable estimation of land movements/subsidence is becoming more crucial. During the last few decades, land subsidence has been monitored by precise and continuous geodetic measurements either from space or using terrestrial techniques. Among them, the Persistent Scaterrer Interferometry (PSInSAR) technique is used on the entire Belgian territory to detect, map and interpret the identified ground movements observed since 1992. Here the research focuses on one of the biggest cities in Belgium that became the second European harbour with giant docks and the deepening of the Scheldt river allowing the navigation of the largest container vessels. The areas along the embankments of the Scheldt river and the harbour facilities are associated to Holocene fluviatile deposits overlain by recent landfills. These sedimentary deposits and human-made landfills are affected by important and ongoing land subsidence phenomena. The land subsidence process is highlighted by an annual average Line of Sight (LOS) velocity of about −3.4 mm/year during the years 1992–2001 (ERS1/2 datasets), followed by an annual average LOS velocity of about −2.71 mm/year and −2.11 mm/year, respectively, during the years 2003–2010 (ENVISAT) and 2016–2019 (Sentinel 1A). The Synthetic Aperture Radar (SAR) imagery data indicate a progressive decrease in the average annual velocities on a global scale independently of important local variations in different districts along the Scheldt river. On the contrary, the city centre and the old historic centre of Antwerp are not affected by negative LOS velocities, indicating stable ground conditions. A geological interpretation of this difference in settlement behaviour between the different areas is provided.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021