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Article Reference The genus Labidodemas (Holothuriidae:Aspidochirotida) revisited with description of three new species and with re-positioning of Holothuria (Irenothuria) macculochi Deichman, 1958
Prior to the present revision the taxon Labidodemas comprised Labidodemas americanum, L. pertinax, L. rugosum and L. semperianum. An up-to-date re- evaluation of the group proved that at least four additional species need to be assigned to it. Three of these are new to science: one has recently been discovered in the shallow waters of KwaZulu-Natal, Republic of South Africa; one originates from Low Island, Australia, and was erroneously identified as L. semperianum, and one stems from South-West Sulawesi, again erroneously identified as L. semperianum. In addition, Holothuria maccullochi, classified in the monotypic subgenus Irenothuria, and Holothuria proceraspina are assigned to Labidodemas; the former as a valid species and the latter as a synonym of L. semperianum. Annotated taxonomic descriptions, distribution maps and an identification key are given. The new observation that L. americanum possesses Cuvierian tubules suggests that its rank remains at generic level rather than at family level as was recently proposed.
Located in Library / RBINS Staff Publications
Article Reference The holothurian subgenus Mertensiothuria (Aspidochirotida: Holothuriidae) revisited.
Mertensiothuria is one of the 20 subgenera currently recognized under Holothuria. The diagnosis of the subgenus is amended with new information on the ossicles found in the longitudinal muscles. The number of species of Mertensiothuria considered to be valid at present is six. These species are redescribed on the basis of new material, type and non-type museum material and on re-evaluation of literature. Two of them, Holothuria hilla and Holothuria aphanes, are transferred from the subgenus Thymiosycia to Mertensiothuria. Four species formerly referred to Mertensiothuria are removed; provisionally they are not referred to any of the known subgenera of Holothuria. Full annotated descriptions or (where the type material was not available) references to the literature are given for each species. An identification key is given to the species belonging to the subgenus Mertensiothuria.
Located in Library / RBINS Staff Publications
Inproceedings Reference Abc Taxa, Field guide to the brittle and basket stars (Echinodermata: ophiuroidea) of South Africa.
Brittle and basket stars (ophiuroids) are one of five extant classes of the phylum Echinodermata and have a fossil record dating back almost 500 million years to the Early Ordovician. Today they remain diverse and widespread, with over 260 described genera and over 2 000 extant species globally, more than any other class of echinoderm. Ophiuroid species are found across all marine habitats from the intertidal shore to the abyss. In southern Africa, the ophiuroid fauna has been studied extensively by a number of authors and is relatively well-known. The last published review of the southern African Ophiuroidea however was by Clark and Courtman-Stock in 1976. It included 101 species reported from within the boundaries of South Africa. In the 40 years since that publication the number of species has risen to 136. This identification guide, which is the nineteenth volume of the series Abc Taxa includes a taxonomic key to all 136 species, and gives key references, distribution maps, diagnoses, scaled photographs (where possible), and a synthesis of known ecological and depth information for each. The guide is designed to be comprehensive, well-illustrated and easy to use for both naturalists and professional biologists. Taxonomic terms, morphological characteristics and technical expressions are defined and described in detail, with illustrations to clarify some aspects of the terminology. A checklist of all species in the region is also included, and indicates which species are endemic (33), for which we report significant range extensions (23), which have been recorded as new to the South African fauna (28) since the previous monograph of Clark and Courtman-Stock (1976) and which have undergone taxonomic revisions since that time (28). This contribution delivers a copiously illustrated overview of the volume and details how it has been diffused in South Africa and beyond.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference A late antique vessel with Greek texts and the makellon of Sagalassos (SW Anatolia): what a waste?
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference A new species of Platylomia Stål, 1870 (Hemiptera: Cicadidae) from Vietnam, with a key to species
Located in Library / RBINS Staff Publications 2022 OA
Article Reference Prospections sur la « villa gallo-romaine du Sart », au lieu-dit La Hamaide, à Hautrage (B).
Hautrage, une commune belge appartenant à l’entité de Saint-Ghislain, se situe dans la partie occidentale de la province du Hainaut. Plusieurs découvertes archéologiques, la plupart anciennes et souvent mal documentées, sont mentionnées sur son territoire1 . 1. Historique des recherches, le site (J. DUFRASNES) La première mention de ce site archéologique apparaît dans HAUBOUDIN 1898, p. 80. L’auteur, un archéologue amateur très actif habitant Stambruges2 , note alors : Villa du Sart.- Un chemin, qui porte encore le nom de chemin d’El Ville3 , indique la Villa du Sart qui est proche. Le cimetière était la nécropole de cette villa4 . Des notes manuscrites datées de janvier 19415 et un inventaire réalisé à l’occasion de l’entrée d’une partie de la collection d’Edmond Haubourdin aux Musées royaux d’Art et d’Histoire de Bruxelles mentionnent du matériel susceptible de provenir de la villa de la Hamaide à Hautrage, c’est-à-dire de la « villa du Sart » (fig. 1). Cependant, aucun des écrits laissés par cet archéologue ne relate qu’il obtint du matériel archéologique de ce site par acquisition, par des fouilles ou des prospections. Edmond Haubourdin ajoute : « Diverticulum.- Le chemin qui traverse le chemin de fer à la station de la Hamaide porte, au cadastre d’Hautrage, le nom de chaussée romaine. Cette chaussée [dont l’actuelle rue des Bats, à 300 mètres à l’est du site, serait un tronçon selon l’auteur ndlr] passait près de la villa et se dirigeait vers Bavay, probablement vers Chièvres, par Villerot, Sirault et Neufmaison, où elle se confondait avec le diverticulum qui venait de Condé par Stambruges. La grande largeur de cette voie de communication accuse son origine romaine »6
Located in Library / RBINS Staff Publications 2022
Techreport Reference “Distance to target” modelling assessment
Located in Library / RBINS Staff Publications 2016
Article Reference Rome à la campagne : les décors de marbre de la villa de la Grande Boussue à Nouvelles (Mons, Belgique).
Introduction Les vestiges de la villa de Nouvelles s’étendent sur plusieurs parcelles situées à l’intersection des localités hennuyères de Nouvelles, Harveng et Asquillies, au sud de Mons (fig. 1). Découverts par Émile de la Roche de Marchiennes à la fin du XIXe siècle au lieu-dit « Grande Boussue » ou « Petit Bavay », ils ont fait l’objet de dix-huit campagnes de fouilles entre 1964 et 1985, à l’initiative de la famille Leblois. Les résultats confirmeront l’importance et la richesse de cet établissement rural élevé en territoire nervien, à environ 16 km à peine de Bavay . Ces travaux seront complétés dans les années 1990 par quelques petites interventions ponctuelles conduites par l’asbl Recherches et Prospections archéologiques en Wallonie et par le Service Public de Wallonie. La villa se développe en bordure d’un léger promontoire descendant en pente douce vers le nord-est, entre les deux affluents principaux de la Trouille, le By (ou Ruisseau d’Asquillies) et la Wampe. Sa partie haute surplombe le paysage, offrant ainsi une vue panoramique sur plusieurs kilomètres. Le site accueille tout d’abord une occupation laténienne de nature encore imprécise, à laquelle succède, dans la première moitié du Ier siècle apr. J.-C., un établissement cerné d’un vaste enclos de plan quadrangulaire de près de 2 hectares. Au tout début du IIe siècle, ces structures disparaissent au profit de la création d’un très grand corps de logis conçu en trois ailes. Il ouvre vers le sud-est, sur une cour d’environ 80 m de large, et domine la cour agricole par sa position naturellement surélevée. Dès cette période, cet ensemble peut être qualifié de « grande villa à pavillons multiples alignés », une formule architecturale typiquement gallo-romaine, à laquelle répondent les établissements ruraux parmi les plus évolués du Nord de la Gaule (fig. 2) . Outre ses grandes dimensions - estimées à plus de 4 hectares - et la conception symétrique de ses bâtiments, l’établissement présente les caractéristiques ornementales d’une résidence aristocratique, comme en témoignent l’abondance des restes décoratifs et la construction d’un aqueduc long d'1,5 km, en amont du ruisseau d’Asquillies. Cette conduite avait certainement pour fonction principale d’alimenter, via un bassin de distribution dans l’aile sud, une suite thermale aménagée dans l’aile nord. Une dernière campagne de transformation et d’embellissement entreprise à la fin du IIe siècle ou au début du IIIe siècle marque alors l’apogée de son développement monumental. À cette époque, les trois ailes du corps de logis totalisent une longueur cumulée d’environ 300 m. Les façades sont agrémentées de portiques et l’ensemble possède plusieurs pièces décorées, dont la suite thermale. Mais dans le troisième quart du IIIe siècle, un violent incendie détruit l’aile sud et au moins l’un des pavillons dans la pars rustica. L’absence de réaménagement donne l’impression que la villa est alors délaissée par ses propriétaires. Les vestiges seront ensuite exploités comme carrière par les habitants des villages voisins au XVIIe siècle, achevant ainsi la destruction du corps de logis, dont les ruines disparaîtront progressivement avec la mise en culture des terres. (...)
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference L’occupation néolithique de Grâce-Hollogne – Velroux « Quartier Roba » Fouilles 2004/2005 dans la zone d’extension de l’aéroport de Liège/Bierset. Partie 2 - Etude archéométrique des céramiques rubanées et recherche des sources des matières premières.
RÉSUMÉ Les observations pétrographiques en lames-minces et les analyses au microscope électronique à balayage complètent les observations macroscopiques et mésoscopiques faites sur des tessons appartenant à deux espaces d’occupation rubanée situés à Velroux (Grâce-Hollogne, Province de liège, Belgique). Quatre groupes et plusieurs sous-groupes de pâtes céramiques ont été identifiés et caractérisés. Les sources locales et régionales des matières premières utilisées par les potiers rubanés sont discutées et ouvrent des perspectives sur les utilisations des matières premières sur la grande aire rubanée. MOTS-CLÉS : Rubané, pétrographie en lames-minces, microscope électronique à balayage, EDS, sources des matières premières, Hesbaye, Belgique. SUMMARY/ABSTRACT Petrographic observations in thin sections and scanning electron microscopic analyses complete the macroscopic and mesoscopic observations made on pottery sherds belonging to two occupation area belonging to the Linear Pottery culture and located at Velroux (Grâce-Hollogne, Province of Liege, Belgium). Four groups of ceramic pastes and some sub-groups were identified and characterized. Local and regional sources of raw materials used by the LBK potters are discussed and open perspectives on the uses of raw materials in the large Linear Pottery Culture area. KEYWORDS: Linear Pottery Culture, thin-section petrography, scanning electron microscope, EDS, raw material sourcing, Hesbaye, Belgium.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021
Article Reference Pavements et placages, l’ornementation du balnéaire privé de Warcq (Ardennes, France).
Introduction: Une fouille préventive s’est déroulée aux lieux-dits « Simonelle » et « Sous le Chemin de Tournes » de la commune de Warcq. Cette commune se situe à trois kilomètres au nord-ouest de Charleville-Mézières, à la confluence de la Meuse, du ruisseau de This et de la Sormonne. Les opérations de terrain ont permis de mettre au jour les vestiges d’une partie d’une petite villa gallo-romaine constituée d’une cave, d’une cour ainsi que d’un balnéaire . Son occupation, qui s’étend du 1er au 4e siècle de notre ère, est caractérisée par de nombreux réaménagements pouvant être rassemblés en quatre grandes phases distinctes (fig. 1). Le secteur thermal est construit vers 130-150 de notre ère (phase 2) et forme l’aile occidentale de la villa. Vraisemblablement contraints par le bâti existant, les bâtisseurs ont opté pour un plan longitudinal où seule la natatio est en saillie. Il en découle un alignement des pièces et plus particulièrement celui du caldarium et du tepidarium dans celui du praefurnium. Sur près de deux siècles, cette partie de la villa a été soumise à des modifications architecturales dont l’agrandissement du frigidarium aux dépends de la cave (phase 3, fin 2e – début 3e siècle), puis l’ajout d’un apodyterium (phase 4, milieu 3e siècle ?). Dans son dernier état, l’ensemble thermal mesure environ 18 m de long pour 5 m de large offrant aux baigneurs un itinéraire rétrograde. L’accès se fait par le vestiaire dont aucun décor n’a été observé. Le secteur froid est une salle, presque carrée (3,40 m x 2,90 m). Elle comporte un bassin à immersion (natatio) à l’ouest et une banquette plaquée contre le mur oriental. On passe ensuite par le tepidarium, une salle rectangulaire (3,30 m x 1,90 m). Le parcours se poursuit par le caldarium. Cette pièce, aux mêmes dimensions que la précédente, est pourvue en sus d’une petite alcôve de 1,20 m de long sur 0,90 m de large dans laquelle est logé un bassin. Une seconde baignoire est flanquée contre le mur occidental (fig. 1). Ce balnéaire se distingue par l’utilisation de la pierre pour son apparat décoratif. Elle est employée aussi bien pour les pavements que pour les parois. Ce type de pratique reste méconnu et peu fréquent dans le sud de la Gaule belgique. L’ornementation des thermes sera abordée au travers de l’étude de ces décors et, dans un second temps, par la caractérisation et la provenance des roches utilisées. Il convient de mentionner que ces roches se distinguent des pierres de construction qui sont en calcaire gréseux coquillier de couleur jaune pâle à beige, attribuées à la Pierre de Romery, d’extraction locale. Ce matériau affleure à quelques kilomètres de Warcq. Ce travail résulte d’une collaboration entre archéologue, géologue, restauratrices et spécialiste des pavements, et fait suite à une intervention de dépose des pavements et des revêtements muraux mis au jour lors de la fouille.
Located in Library / RBINS Staff Publications 2021