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The antique site of Sagalassos (Burdur Province, Turkey): results from the 1990-1994 excavation campaigns
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Modern and ancient ovicaprine herding in the Sagalassos area (Burdur Province, Turkey)
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The 1997 archaeometrical research and survey at Sagalassos
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Le matériel faunique du château des comtes à Namur. Résultats préliminaires
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Abc Taxa, Field guide to the brittle and basket stars (Echinodermata: ophiuroidea) of South Africa.
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Brittle and basket stars (ophiuroids) are one of five extant classes of the phylum Echinodermata and have a fossil record dating back almost 500 million years to the Early Ordovician. Today they remain diverse and widespread, with over 260 described genera and over 2 000 extant species globally, more than any other class of echinoderm. Ophiuroid species are found across all marine habitats from the intertidal shore to the abyss. In southern Africa, the ophiuroid fauna has been studied extensively by a number of authors and is relatively well-known. The last published review of the southern African Ophiuroidea however was by Clark and Courtman-Stock in 1976. It included 101 species reported from within the boundaries of South Africa. In the 40 years since that publication the number of species has risen to 136. This identification guide, which is the nineteenth volume of the series Abc Taxa includes a taxonomic key to all 136 species, and gives key references, distribution maps, diagnoses, scaled photographs (where possible), and a synthesis of known ecological and depth information for each. The guide is designed to be comprehensive, well-illustrated and easy to use for both naturalists and professional biologists. Taxonomic terms, morphological characteristics and technical expressions are defined and described in detail, with illustrations to clarify some aspects of the terminology. A checklist of all species in the region is also included, and indicates which species are endemic (33), for which we report significant range extensions (23), which have been recorded as new to the South African fauna (28) since the previous monograph of Clark and Courtman-Stock (1976) and which have undergone taxonomic revisions since that time (28). This contribution delivers a copiously illustrated overview of the volume and details how it has been diffused in South Africa and beyond.
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RBINS Staff Publications 2021
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Varanidé, Saniwa orsmaelensis, de l'Eocène basal du Nord-Ouest de l'Europe
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Saniwa est un genre éteint de lézard varanidé de l’Eocène européen et nord-américain et taxon frère du groupecouronne Varanus. Jusqu’à maintenant, seule une espèce, Saniwa orsmaelensis était rapportée en Europe, dans l’Eocène basal de Dormaal, Belgique. Cette espèce, originellement nommée par Louis Dollo il y a presqu’un siècle, est le plus ancien varanidé d’Europe. Malheureusement, le matériel diagnostique était limité à quelques vertèbres, décrites assez brièvement et non figurées, si l’on excepte une vertèbre dorsale désignée comme lectotype. Nous décrivons et illustrons ici de nouveaux spécimens de Dormaal ainsi que du Quesnoy, Bassin de Paris, France, incluant des restes crâniens (maxillaire, dentaires et pariétal), permettant de confirmer la validité de ce taxon européen. Ces nouveaux spécimens permettent en effet de nouvelles comparaisons avec l’espèce-type Saniwa ensidens, de l’Eocène moyen des formations de Bridger et de Green River, Wyoming, Etats-Unis et permettent d’amender la diagnose de S. orsmaelensis. La présence de S. orsmaelensis est restreinte à l’Eocène inférieur du Nord-Ouest de l’Europe et son origine géographique n’est pas encore certaine car Saniwa apparait simultanément en Amérique du Nord en Europe. La présence relativement brève des lézards varanidés dans le Paléogène Européen pourrait résulter des rapides changements environnementaux aux alentours du Paleocene Eocene Thermal Maximum qui ont permis de nombreux échanges fauniques dans l’hémisphère nord. Cependant, le sens de ces migrations n’est pas encore connu. Par ailleurs, les considérations paléogéographiques liées à la distribution du genre Saniwa suggèrent une origine asiatique bien qu’une origine africaine ne puisse être complètement exclue. Ce résumé est une contribution au projet réseau Belspo Brain BR/121/A3/PalEurAfrica financé par le Bureau de la Politique Scientifique Belge.
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RBINS Staff Publications 2019
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La locomotion des mésonychidés européens (Mesonychia, Mammalia): Born to run ?
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Les Mesonychia appartiennent à un groupe éteint de mammifères prédateurs à sabots. Diversifiés (plus de 20 genres actuellement répertoriés ; Szalay et Gould 1966 ; Rose 2006), ils sont connus dans l’ensemble de la Laurasia (Asie, Europe, Amérique du Nord), du Paléocène inférieur à l’Oligocène inférieur. Les Mesonychia sont séparés en deux familles : Hapalodectidae et Mesonychidae (Szalay et Gould 1966; Solé et al. 2018). Ces derniers ont connu deux événements radiatifs : au Paléocène, avec la diversification des clades de « Dissacus », et au début de l’Éocène, avec l’apparition de mésonychidés spécialisés regroupés, notamment, dans le clade Mesonyx (Solé et al., 2018). Les Mesonychidae étaient présents en Europe à partir du Paléocène supérieur (Thanétien) jusqu’à la fin de l’Éocène inférieur (Yprésien). Deux genres, « Dissacus » et Pachyaena, y ont été identifiés. Mis à part Pachyaena gigantea (Vaugirard, France, début de l’Yprésien) et « Dissacus » europaeus (Cernay et Berru, France, Thanétien tardif), décrits respectivement par Boule (1903) et Thewissen (1991), les mésonychidés européens ont été décrits à partir d’éléments dentaires. Cependant, ces dernières années, plusieurs éléments dentaires et postcrâniens ont été découverts dans les localités de l’Éocène inférieur de Palette (France ; MP7) et de La Borie (France ; MP8+9). Nous avons récemment étudié ces nouveaux restes, mais également révisé ceux du P. gigantea de Vaugirard, décrits mais uniquement partiellement représentés au début du 20ème siècle (Boule 1903). Leur description comparative permet de reconstruire l’évolution de la locomotion des mésonychidés européens et d’inclure ces nouvelles données morphologiques dans la matrice portant sur les parentés au sein des Mesonychia récemment améliorée par Solé et al. (2018). Les analyses phylogénétiques (en parcimonie standard et en bayésien « tip dating » mettent en évidence un clade regroupant la plupart des espèces européennes : ceci permet d’imaginer qu’un groupe de mésonychidés a évolué de manière endémique en Europe. Nous proposons de réutiliser un nom de genre proposé par Lemoine (1891) pour l’une des espèces de ce clade : Hyaenodictis. Il regroupe dorénavant cinq espèces auparavant référées au genre « Dissacus ». Concernant l’écologie, nous concluons que Hyaenodictis raslanloubatieri (La Borie) et Hyaenodictis rougierae (Palette) étaient dorsostables, digitigrades spécialisés et coureurs, alors que P. gigantea était plantigrade – bien qu’également coureur. Les différences de posture et de masse corporelle de ces deux genres reflètent une différence de niche écologique ne corroborant pas l’hypothèse selon laquelle Pachyaena aurait pu être remplacé écologiquement par Hyaenodictis au cours de l’Yprésien. Ce nouveau matériel postcrânien de mésonychidés européens permet de constater une convergence avec certains mésonychidés nord-américains appartenant au clade Mesonyx. Des similitudes morphologiques (e.g., disparition du foramen de l’astragale) liées à une même locomotion sont en effet observées sur les deux continents.
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RBINS Staff Publications 2019
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Apports de la chémostratigraphie "long-terme" (isotopes stables du carbone sur la matière organique) à la datation de mammifères durant le Paléogène
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Depuis quelques décennies, les rapides (« court-terme » - quelques dizaines à quelques centaines de milliers d’années) excursions d’isotopes stables (δ13C et δ18O) sur différents types de supports (roche totale carbonatée, nodules de paléosols, certaines espèces animales et végétales, matière organique totale ou spécifique) servent de jalons chémostratigraphiques éprouvés durant le Paléogène (Late Danian Event, PETM ou ETM-1, ETM-2, ETM-3, MECO, Oi-1, Oi-1a, etc). Récemment, les tendances isotopiques des mêmes éléments, utilisées à « long-terme » (quelques centaines de milliers d’années à quelques millions d’années) montrent une certaine utilité, particulièrement dans les coupes dépourvues d’autres informations stratigraphiques. Des coupes strictement continentales peuvent être ainsi corrélées avec les échelles chronostratigraphiques marines. A partir de plusieurs études de cas spécifiques au Maroc, Sud de la France (Corbières, Minervois, région de Montpellier, Provence), Angola et Belgique, la présente communication illustrera les contraintes, biais et perspectives de la chémostratigraphie (appelée également chimiostratigraphie) « long-terme » du carbone sur la matière organique totale. Des corrélations inter-régionales, voire inter-continentales (notamment avec le Wyoming, USA), sont mises en évidence en couplant bio- et chémo-stratigraphie, autorisant une discussion de l’évolution des mammifères dans différentes régions, y compris celles contenant des faunes strictement endémiques.
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RBINS Staff Publications 2019
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Five adjacent Aquifer Thermal Energy Storage (ATES) systems in Cenozoic and Paleozoic aquifers in Brussels: numerical simulation of their possible interactions
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RBINS Staff Publications 2023
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Mutlidisciplinary approach to assess the Cambrian geothermal potential in Brussels region with a focus on public buildings (Geocamb project)
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RBINS Staff Publications 2023